Introduction aux principes de la médecine moderne

«Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé»   professeur Peter C. Gøtzsche

 professeur philippe Even
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Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
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« Lorsque vous vous rendrez compte de ce qui vous est vendu comme un «remède» vous vous rendrez compte comment vous jouez à la roulette russe avec vôtre vie et celles de vos enfants. » Heller Meria
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« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »
professeur Turcotte fernand
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200.000 morts par an en Europe par les médicaments ! (sauvegarde)
Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soitenviron 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?

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Les inventeurs de maladies et « LA MAFIA DU CHOLESTEROL » : « la médecine est devenue folle » (ARTE)
Cholestérol :  le grand bluff
Le danger du cholestérol mythe ou réalité
 
La sécu, les labos, les médecins nous escroquent et nous empoisonnent, le crestor aussi !
Cholestérol, un business qui rend malade

 Les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :

médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2
remèdes mortels et crime organisé grand forma
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« Il faut interdire les statines ! »

les statines tuent des millions de personnes

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Le cholestérol

Ce n’est pas la première étude qui démontre que faire baisser le cholestérol à tout prix non seulement ne réduit pas la mortalité cardiovasculaire, mais aussi que l’on vit mieux, plus longtemps et en meilleure santé avec un taux de cholestérol un peu élevé
Voulez-vous savoir enfin avoir accès à une ANALYSE INDEPENDANTE des données de la science ?
Cholestérol et statines :  le grand mensonge
Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson
Le Dr Uffe Ravnskov est âgé de 86 ans, il ne fait aucun mystère du fait que son LDL-CHO personnel se situe invariablement entre 6 et 7g/l soit dix fois au-dessus des normes industrielles admises à ce jour. Les innombrables tenants de la thèse du cholestérol qui tue auraient intérêt à se pencher sur un tel bilan lipidique, au moins pour nous expliquer pourquoi Uffe vit toujours avec autant de bonheur pour nous et pour sa formidable famille.
une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s’avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d’un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l’apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d’Alzheimer
Les sujets atteints présentent à des degrés divers, proportionnels au déficit en cholestérol, des troubles cognitifs ou des troubles de l’intelligence pour parler simplement.
Cette déclaration semble si incroyable que cela prend beaucoup de temps pour effacer le lavage de cerveau de son esprit afin de comprendre pleinement son importance. Pourtant, le fait que les personnes ayant un cholestérol élevé vivent plus longtemps ressort clairement de nombreux articles scientifiques.Examinez les conclusions du Dr Harlan Krumholz du Département de médecine cardiovasculaire de l’Université de Yale, qui a déclaré en 1994 que les personnes âgées avec un cholestérol faible mouraient deux fois plus souvent d’une crise cardiaque que celles avec un cholestérol élevé.
un site contre les anticholestérols (nous ne pouvons cependant que regretter la position particulièrement immonde et inacceptable de l’auteur vis a vis des autres victimes des médicaments)
Le Pr Bernard Forette, gérontologue à l’hôpital Sainte-Perine, à Paris, a découvert que ses patients âgés de plus de 60 ans qui présentaient un taux de cholestérol de 1,54 gramme avaient une mortalité cinq fois plus élevée que ceux dont le cholestérol grimpait à 2,6, voire à 3,4 grammes.
« La « théorie du cholestérol » dans sa forme actuelle n’est qu’un château de cartes. Dès qu’on utilise son sens critique et qu’on analyse scientifiquement les données de biologie expérimentale, d’épidémiologie et des essais cliniques randomisés, tout s’écroule. Le cholestérol ne bouche pas les artères ; le risque de mourir d’un infarctus n’est pas proportionnel au niveau de cholestérol dans le sang et le faire baisser ne réduit pas le risque de mourir d’un arrêt cardiaque. Je ne suis pas seul contre tous en disant cela. De nombreux chercheurs, notamment aux Etats-Unis et en Scandinavie, s’opposent à cette course folle d’une médecine préventive focalisée sur une guerre inutile contre le cholestérol. Mais cette parole est confisquée et l’industrie surfe sur cette vague sans aucun contre-pouvoir. »
Par exemple, Dumit décrit comment les seuils de risque pour le cholestérol ont été abaissés à trois reprises au cours de la dernière décennie, ce qui augmente le potentiel pour obtenir plus de patients sous tratement, plus statines qui réduisent le cholestérol.
Parce qu’il y a eu des menteurs, bien organisés, qui ont gagné de l’argent et en ont fait gagner aux firmes en répandant un dogme faux. L’industrie pharmaceutique mondiale s’est quand même mis dans la poche 400 milliards d’euros depuis dix ans, et en France, pas loin d’un milliards d’euros par an.
danger et essroquerie
Trop de graisse animale est nocif pour la santé ; trop de cholestérol dans le sang est dangereux pour le cœur. Ces truismes apparents ne sont que des mythes. Vous trouverez ci-dessous quelques faits surprenants et inquiétants.
« il n’y a pas de mauvais cholestérol, c’est une farce inventée par les industriels de la pharmacie »
Par le Dr U.Ravnskov ( http://www.ravnskov.nu/ncep_guidelines )
« Le cholestérol ne bouche pas les artères »
« La « théorie du cholestérol » dans sa forme actuelle n’est qu’un château de cartes. Dès qu’on utilise son sens critique et qu’on analyse scientifiquement les données de biologie expérimentale, d’épidémiologie et des essais cliniques randomisés, tout s’écroule. Le cholestérol ne bouche pas les artères ; le risque de mourir d’un infarctus n’est pas proportionnel au niveau de cholestérol dans le sang et le faire baisser ne réduit pas le risque de mourir d’un arrêt cardiaque. Je ne suis pas seul contre tous en disant cela. De nombreux chercheurs, notamment aux Etats-Unis et en Scandinavie, s’opposent à cette course folle d’une médecine préventive focalisée sur une guerre inutile contre le cholestérol. Mais cette parole est confisquée et l’industrie surfe sur cette vague sans aucun contre-pouvoir. »
Les maladies et autres affections dont le risque augmente si votre taux de cholestérol est abaissé, soit par maladie ou artificiellement par des médicaments, est long. Les médicaments qui réduisent le cholestérol, eux-mêmes, augmentent également les risques en raison des effets secondaires indésirables qu’ils produisent. Cet aspect sera abordé dans une autre partie de ce site . Mais il suffit de regarder les conditions énumérées dans le menu ci-dessus, ou l’ Indice des dangers de l’indice de cholestérol bas , afin de constater que l’abaissement du cholestérol n’est pas sans risque important.
Depuis 30 ans, on nous dit qu’en diminuant le taux de cholestérol, on diminue les problèmes cardiovasculaires. Or on constate que ce n’est pas le cas
Le taux normal de cholestérol : oui vous lisez bien il est passé de (2,60) 3g/l à 2g/l,En janvier 2008, le professeur Kastelein d’Amsterdam publie une étude « Cholesterol Drug Bomb » qui prouvent une fois de plus qu’il n’existe aucun rapport entre la baisse du cholestérol et les risques d’infarctus du myocarde alors que des millions de gens à travers le monde prennent des médicaments anticholestérol en croyant réduire les risques ! Or non seulement ces médicaments ne protègent pas mais chez les patients pris dans cette étude, les dépôts de la région cardiaque se sont développés deux fois plus vite que chez les patients du groupe de contrôle.
La résistance croissante au marketing dont font preuve certains médecins depuis quelques années semble avoir convaincu l’industrie pharmaceutique de changer son fusil d’épaule et de viser maintenant le grand public, comme elle le fait avec grand succès aux USA. Tout a commencé à la rentrée 2002 lorsque le SNIP (Syndicat National de l’Industrie Pharmaceutique) a décidé de se rebaptiser du beau nom de LEEM (Les Entreprises du Médicament). Ce nouveau nom n’était pas un simple changement de façade mais la manifestation d’une quête de reconnaissance que l’industrie a accompagnée d’une puissante campagne en direction du grand public : affiches, publicités dans la presse écrite et surtout spots télévisés sur TF1 et France Télévision dans lesquels des personnalités, malades ou en bonne santé, venaient vanter les bienfaits des découvertes les plus spectaculaires : des anticancéreux aux médicaments pédiatriques en passant par le traitement de la sclérose en plaques. Mais cette entreprise de séduction dépasse la simple campagne d’image : sous couvert d’information sanitaire, le LEEM s’associe à des associations à but non lucratif pour diffuser des messages qui n’ont d’autre but que d’inciter la population à  » consommer  » du médical – c’est à dire, in fine, du médicament. L’exemple le plus flagrant est visible ces jours-ci sur nos écrans : en janvier dernier, les laboratoires Pfizer s’associaient à l’ARCOL (Comité français de coordination des recherches sur l’athérosclérose et le cholestérol) pour lancer une campagne autour du dosage du cholestérol. Les moyens étaient conséquents : publi-reportage diffusé dans la presse écrite ayant pour vocation  » d’élargir l’information au risque cardiovasculaire dans sa globalité  » ; 1 300 000 brochures d’information destinées à être distribuées aux patients par les professionnels de santé afin  » d’aider à lutter contre les idées reçues sur l’hypercholestérolémie  » ; centre d’appel téléphonique permettant de  » répondre aux questions les plus fréquemment posées « . Le pompon était cependant remporté par l’annonce presse avec  » visuel choc et message simple  » (sic !) publiée dans les principaux titres de la presse française. Déclinée en poster  » à la demande de médecins « , 1 000 exemplaires étaient destinés à être installés dans les salles d’attente médicales. Annonce et poster représentaient les pieds d’un cadavre à la morgue : une étiquette portait le sexe (M), l’âge (47) et la cause du décès (accident cardio-vasculaire), avec ce message  » choc  » :  » Dire qu’un simple dosage de son cholestérol aurait pu lui éviter ça !  » Juste en dessous, on pouvait lire  » Une crise cardiaque peut intervenir alors que l’on ne se croyait pas malade. On peut alors découvrir que l’on a, peut-être depuis des années, un excès de cholestérol dans le sang. Saviez-vous qu’un excès de cholestérol peut provoquer des maladies cardiovasculaires ? Faire doser régulièrement son taux de cholestérol est important, d’autant qu’il est relativement facile, aujourd’hui, de le faire baisser.  » Suit la liste des personnes et situations  » concernés  » :  » Homme de plus de 45 ans. Femme de plus de 55 ans ou ménopausée. Antécédent familial de maladie cardiaque. Tabagisme. Diabète. Hypertension. Obésité.  » …..
Et si le cholestérol n’était pas dangereux ? L’affaire est à peine croyable. Le cholestérol ne serait pas ce serial killer redouté, responsable de milliers de crises cardiaques et d’arrêts vasculaires cérébraux ? Le faire baisser serait même mauvais pour la santé ?
Cholestérol : Une arnaque qui coûte plus de deux milliards d’euros par an à la sécurité sociale Selon le Pr Philippe Even, le cholestérol est « un ennemi imaginaire », ce qui en fait « la plus grande erreur médicale de tous les temps » en même temps que « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique ».
La vérité sur le cholestérol Une étude publiée par Le New York Time en janvier 2008 sous le titre « Cholesterol Drug Bomb » révèle l’étude faite par le professeur Kastelein d’Amsterdam qui prouvent une fois de plus qu’il n’existe aucun rapport entre la baisse du cholestérol et les risques d’infarctus du myocarde alors que des millions de gens à travers le monde prennent des médicaments anticholestérol en croyant réduire les risques ! Or non seulement ces médicaments ne protègent pas mais chez les patients pris dans cette étude, les dépôts de la région cardiaque se sont développés deux fois plus vite que chez les patients du groupe de contrôle. Il a fallu deux ans pour que cette étude, entreprise au départ pour des sociétés fabricantes de médicaments anticholestérol soit enfin publiée… Tout ceci confirme ce que le docteur Rath affirme depuis longtemps, à savoir que si le cholestérol endommageait les vaisseaux sanguins, on verrait des lésions tout au long du parcours et pas uniquement dans les régions cardiaque et cérébrale. Pour le docteur Rath, l’athérosclérose est une forme de scorbut du à une carence en vitamine C
Sur le sujet du cholestérol, on entend TOUT et son contraire. Les graisses saturées seraient des « ennemies » et le cholestérol alimentaire serait dangereux. Autre dogme : le cholestérol sanguin, fabriqué par nos cellules, serait un poison quand il est en excès. Voulez-vous savoir enfin avoir accès à une ANALYSE INDEPENDANTE des données de la science ?
En faisant des recherches sur tous ces traitements, j’ai découvert que l’Ezemimibe réduisait certes le taux de cholestérol, mais n’avait strictement aucune efficacité sur les maladies cardiovasculaires1. D’ailleurs même la HAS (Haute Autorité de Santé) dans sa fiche BUM (Bon Usage des Médicaments) le reconnaît elle-même2 et le confirme dans un autre avis3.
Hartenbach remet non seulement en question les théories largement répandues depuis plusieurs années sur la soi-disant nocivité du cholestérol ; il met expressément en garde contre les thérapies visant à abaisser le taux de cholestérol. L’auteur considère que ces thérapies ont des effets négatifs. Il cite ainsi une baisse de la capacité de performance et de régénération de l’organisme, ou le risque accru d’infarctus et de cancers lié à la prise de médicaments visant à faire baisser le taux de cholestérol. Un taux de cholestérol trop bas peut en effet conduire à un arrêt circulatoire mortel.
Les statines représentent un marché mondial de plus de 30 milliards de $ par an, et ceci depuis de nombreuses années. En outre,le dépistage et le traitement du cholestérol coûte environ 100 milliards de $ par an sans aucun avantage notable pour les victimes, je veux dire les patients.
…en dépit du fait qu’une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux Etats-Unis avec une crise cardiaque a démontré que près de 75% avait un taux de cholestérol « normal »
Voici ce qu’il faut savoir pour qu’on ne vous prenne pas pour un imbécile.
Par ailleurs, même s’il n’y a qu’un seul cholestérol, on nous parle pourtant du « bon » et du « mauvais » cholestérol, de quoi s’agit-il ? En fait, le cholestérol est fixé sur des molécules de transport pour pouvoir circuler dans le milieu aqueux du sang. On parle de bon cholestérol pour désigner les molécules de transport de grosse taille (HDL), et de mauvais cholestérol pour les transporteurs de petite taille (LDL).
Mais personne ne nous dit que les LDL sont toutefois vitales puisque ce sont elles qui distribuent le cholestérol à toutes les cellules du corps. Mais c’est au cours de cette distribution, via le système artériel (donc dans le sens circulatoire « aller »), que le risque de dépôt sur les parois artérielles existe. Trop de LDL risque donc effectivement d’engendrer un ralentissement circulatoire, un manque d’oxygénation des muscles du cœur, avec pour conséquence possible l’infarctus du myocarde. Les HDL, que l’on va retrouver au niveau « retour » sont de gros transporteurs et des « ramasseurs » de cholestérol, on considère donc que l’on n’a jamais trop de HDL. Mais en toute logique, l’excès, en quelque matière que ce soit, n’est jamais bon pour la santé.cile.

danger pour la santé

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Anti-cholestérol

les traitements anti-cholestérol sont 3 à 5 fois plus cancérigènes que le tabac ou l’amiante.
un marché à 40 milliards de dollars
J’affirme que le cholestérol n’est pas dangereux, et sur ce point, en effet, j’ai des contradicteurs. S’ils veulent être crédibles, ils doivent d’abord être indépendants. Et quand ils ne le sont pas, je l’écris. Ce n’est pas une coïncidence que plusieurs soient cités dans mon livre: ils le doivent à leurs liens avec l’industrie
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
L’ézétimibe étant souvent prescrite en compléments d’une statine, nous retrouverons donc les mêmes effets secondaires que celles-ci avec en plus :Augmentation de la mortalité globale, ce qui est tout de même inquiétant bien que les labos transforment ceci à leur avantage : vous mourrez plus, certes, mais pas de maladie cardiovasculaire…
L’étude SEAS fait aussi ressortir une augmentation spectaculaire de 70% des décès dus au cancer !
On peut aussi noter que dans l’étude ENHANCE le nombre de patients ayant quitté l’étude à cause des effets indésirables est plutôt conséquent : 21,72% d’abandons dans le groupe Pravastatine + Ézétimibe et 19,62% d’abandons dans le groupe Pravastatine + Placebo. Quant à l’étude IMPROVE-IT, celle-ci fait pire puisque non seulement les effets secondaires dus à l’ézétimibe sont de 15 à 70% supérieurs mais, de plus, ce sont environ 42% des patients de chaque groupe qui ont quitté l’étude avant la fin de celle-ci !
la FA est une arythmie qui favorise les embolies cérébrales !
Le bézafibrate (Befizal), un hypocholestérolémiant (anticholestérol) Le ciprofibrate (Lipanor ou autre), un hypocholestérolémiant Le fénofibrate (Lipanthyl ou autre), un hypocholestérolémiant
la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.
Les médicaments anti-cholestérol font perdre la mémoire et augmentent le risque de diabète
Ces effets secondaires sont jugés suffisamment sérieux pour que décision soit prise de modifier les notices de ces médicaments. Le Dr de Lorgeril ironise en signalant qu’avec les autorités sanitaires Françaises, on peut s’attendre à une telle alerte vers « 2015-2016 au mieux« .
Le fait que les statines provoquent des effets secondaires est reconnu – il existe aujourd’hui 900 études prouvant leurs effets secondaires, allant des douleurs musculaires à un risque accru de cancer.
C’est une très grave erreur car ces médicaments – en plus de leur toxicité musculaire bien connue et fréquente – ont des effets toxiques silencieux, sournois et torpides (ils favorisent l’émergence des cancers), ou d’une extrême nuisance en termes de qualité de vie puisqu’ils altèrent nos capacités cognitives, notre humeur (dépression pour les uns, irritabilité pour les autres) et surtout peuvent gravement inhiber, voire ruiner, notre vie sexuelle. On montre que les statines perturbent gravement la vie sexuelle des patients jusqu’à, par exemple, multiplier par sept le risque de troubles de l’érection chez les hommes. Mais en plus d’altérer la physiologie de la sexualité masculine et féminine, les statines peuvent avoir un effet anesthésiant sur nos…
Réseau international de cholestérol sceptiques
Les études n’ont pas fait les gros titres des journaux. Peut-être parce qu’elles laissent tout simplement entendre qu’une grande partie des 7 millions de Français qui prennent des statines le font pour rien, que plusieurs centaines de millions d’euros liés à ces prescriptions inutiles de médicaments anti-cholestérol sont jetés par les fenêtres (ou plutôt aimablement déversés dans les caisses des laboratoires) et que des traitements naturels, plus efficaces et moins coûteux sont occultés ou inconnus des médecins. Et on ne parle pas des effets secondaires !
les fibrates et les statines provoquent tous des cancers chez l’animal.
Les effets secondaires les plus connus des statines sont les dommages au foie et les problèmes musculaires, mais ces médicaments sont aussi associés, entre autres, à des changements au niveau de la mémoire, de la concentration et de l’humeur.
les bénéfices ne sont pas au rendez-vous
Les médicaments anti-cholestérol et la politique de santé publique
Quand les médicaments tuent : La cérivastatine, aurait fait 7 577 décès dans le monde.
Des chercheurs rapportent une explication possible pour les symptômes d’anxiété et de dépression présents chez certaines personnes prenant des médicaments anti-cholestérol de la famille des statines et certaines personnes suivant un régime alimentaire faib
Pfizer a arrêté un essai clinique avec 15.000 participants portant sur le torcetrapib, un anti-cholestérol qui a provoqué des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux… tout en baissant le « mauvais » cholestérol et en augmentant le « bon ». Heureusement, l’essai clinique a été mené – pour une fois – avant que l’agence du médicament l’autorise
George V. Mann, M.D. Professor of Biochemistry and Medicine
On ne compte pas les témoignages de gens (y compris sur ce blog) qui ont vu des parents ou des proches « guérir » de leur maladie d’Alzheimer dès lors qu’ils avaient arrêté leur statine …
Toutes les statines sont donc à mettre dans le même panier ?
Et aussi tous les autres traitements et diététiques anti-cholestérol car si on peut sans doute identifier des médicaments anti-cholestérol plus cancérigènes que les autres, c’est aussi et surtout le fait d’avoir un cholestérol bas qui favorise les cancers, quelque soit la façon dont ce cholestérol a été abaissé. Jusqu’à preuve du contraire, et conformément au Principe de précaution, je pense qu’il faut admettre que tous les traitements anti-cholestérol favorisent les cancers, et d’autant plus que l’on s’acharne plus à diminuer le cholestérol.
Les statines sont une classe de médicaments  sur ordonnance utilisées pour la réduction du cholestérol. Les médicaments comme le Mevacor, le Zocor, le Pravachol, le Lipitor, le Crestor réduisent la production de cholestérol dans le foie, et pendant des années ils ont été considérés comme une sorte de pilule miracle qui peut atténuer l’un des problèmes de santé les plus courants de notre société moderne. Cependant, les statines ont aussi des effets secondaires graves. La FDA à exprimé sa préoccupation à ce sujet. Elles peuvent conduire au diabète, à des lésions cérébrales, à une insuffisance hépatique et à la mort précoce. A long terme, elles peuvent conduire à une toxicité du foie, à l’inflammation musculaire, et même à des cataractes. Elles peuvent interagir avec le plus commun des aliments, et la combinaison peut se révéler mortelle. Par exemple, le pamplemousse peut augmenter la rapidité d’absoprtion des statines dans le sang, conduisant à des lésions musculaires irréparables.
anticholestérol et maladie de parkinson
Une étude réalisée il y a quelques années montrait qu’avec un suivi de plusieurs années, le traitement anticholestérol augmente, triple quasiment, le déclenchement de la maladie de Parkinson. D’autres auteurs d’autres études avaient écrit le contraire. Ce qui est logique, puisque dans les autres études, ce qui était mesuré, c’était la protection d’un cholestérol élevé par rapport au Parkinson, à court terme.
En conséquence de toutes ces études, si quelque soit votre âge, vous êtes diabétiques, ou avez ce que les médecins appellent un sydrome métabolique (avec pré-diabète), et êtes traités avec un des anti-cholestérol existant, allez vite voir votre médecin pour discuter de ce traitement. ces traitements n’apportent rien aux diabétiques, et laissent voir des effets secondaires très inquiétants.
SMT Healy ET STOP
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Anti-cholesterol statines

Le Dr Kalaish Chand explique, dans un article publié dimanche à Londres par le Sunday Express, pourquoi il a arrêté de prendre les statines qui lui avaient été prescrites et met en garde contre leur généralisation. Selon le président de la British Medical Association, les futures directives britanniques qui visent à prescrire ces médicaments aux personnes dont le risque de développer une maladie cardiovasculaire (calculé) est égal ou supérieur à 10% (20% auparavant) « ne bénéficieront qu’aux laboratoires pharmaceutiques. »
Ces médicaments, pour diminuer le cholestérol sanguin, bloquent tout un complexe enzymatique (hydroxyméthylglutaryl-CoA reductase) responsable de la fabrication du cholestérol par les cellules. Une folie quand on sait à quel point le cholestérol est indispensable à tous les niveaux de l’organisme. Il structure les membranes cellulaires, permet leurs interactions, il est aussi un précurseur de nombreuses hormones ; reste indispensable à nos neurones (donc à notre cerveau) et au mitochondries… la liste est longue ! Pas étonnant qu’en interférant avec son métabolisme surviennent de graves et multiples complications. Nous pourrions objecter que l’efficacité contre les pathologies cardiovasculaires vaut bien l’accommodement de quelques effets indésirables. Même pas : avec les statines, il n’y a pas de bénéfices, seulement des risques !
Statine / anticholestérol : « Les médecins ne sont pas au courant, et nient le lien »
« Une chercheuse de l’Université de Californie, Béatrice Golomb, a réuni des témoignages dramatiques de mariages brisés, carrières détruites, et un nombre important de personnes qui ont tenté d’assassiner leur conjoint après avoir pris des statines.
Le problème, explique-t-elle, est que les gens ne font généralement pas le rapport entre les deux. Les médecins ne sont pas au courant, et nient le lien. Elle signale le cas d’un scientifique connu dans le monde entier, et de nombreuses personnes qui se sont suicidées. »
«Eh bien, quand j’ai eu la troisième crise cardiaque, un médecin s’est penché sur moi à l’hôpital et il m’a dit:« Ne reprends plus jamais ce genre de choses. Cela va te tuer », a déclaré Gullicksen. «J’ai dit: mon médecin de famille m’a dit de continuer à le prendre.
Avec 10 ans d’expérience derrière nous, nous avons appris qu’il ya quelque chose de spécial à propos de Tahor / Lipitor (atorvastatine). Il y a quelque chose à propos de la composition de ce médicament qui permet de se démarquer de tous les autres statines sur un point remarquable – Tahor / Lipitor semble avoir une plus grande tendance que tous les autres de causer des effets secondaires cognitifs. Si vous êtes sur Lipitor – atorvastatine – ou envisagez de démarrer sur Tahor /  Lipitor, vous devez lire mon livre – Lipitor Voleur de mémoire. Vous devez connaître la véritable héritage de Lipitor.
véritables poisons pour l’organisme, deux arnaques savamment organisées par les laboratoires pharmaceutiques dans l’unique but de faire du profit sur le dos des patients naïfs, des médecins désinformés, et de la santé publique.
2) Il y a quatre mois, j’ai été mis sur Lipitor pour réduire mon mauvais cholestérol à 100. Soudain, j’ai découvert que je ne pouvais pas gérer les mathématiques de base ou me souvenir de l’orthographe. Il est devenu si mauvais que j’étais dans un brouillard constant. Je devrais vous dire que j’ai passé la majeure partie de ma carrière dans la Silicon Valley à rédiger des spécifications pour les logiciels et détenir un brevet sur la technologie des systèmes experts. J’ai eu une IRM pour exclure une tumeur cérébrale ou un accident vasculaire cérébral. Puisque la seule chose qui avait changé était l’ajout de Lipitor, j’ai arrêté de le prendre. Cinq semaines plus tard, j’ai encore des problèmes d’orthographe et j’oublie souvent les choses.
3) Nous avons récemment enlevé ma mère des statines parce qu’elle souffre de pertes de mémoire. Dix jours après l’avoir retirée de Statins, son médecin lui a envoyé un test de neuropsychographie et un scanner. Les résultats de CT sont toujours en attente. Le neuropsychologue a diagnostiqué la maladie d’Alzheimer et l’a renvoyée à son interniste pour commencer les inhibiteurs de la cholinestérase. Nous croyons qu’il s’agit d’un diagnostic prématuré, puisque sa perte de mémoire n’a pas progressé au-delà des stades initiaux observés il y a plus de deux ans et demi et qu’elle n’a été absente des Statins que dix jours après avoir été testée. Elle suit un traitement aux statines depuis neuf ans.
4) On m’a mis sur Lipitor quand Mevacor ne semblait pas faire son travail. J’ai commencé chez Mevacor vers l’âge de 30 ans … J’ai 49 ans maintenant. Le Lipitor a été commencé il y a environ deux ans … Il faudrait que je vérifie le bureau du Docteur car je ne me souviens plus vraiment quand j’ai été interposé! J’ai remarqué que ma mémoire se détériorait et tous les médecins que j’ai vus en ont accusé la ménopause et / ou ma fibromyalgie.
Cependant, au cours des derniers mois, des symptômes nouveaux et effrayants sont apparus. En parlant à des amis, en faisant du shopping ou tout simplement en restant assis à la maison et en regardant la télévision, j’aurais la sensation la plus étrange et la plus troublante que je ne savais pas qui j’étais. Cela durerait quelques secondes et se sentirait si bizarre – comme une expérience hors du corps … qui était cette personne qui parlait … oh, ça doit être moi.
J’ai toujours été un lecteur vorace et maintenant c’est tellement difficile pour moi de me concentrer et de me souvenir de choses que j’ai presque cessé de lire. Les mots croisés étaient un passe-temps favori. Maintenant, j’ai du mal à poursuivre une conversation depuis que je bégaie et que j’essaie de penser à un mot ou à un nom. Les noms de vieux amis m’échappent et parfois je ne me rappelle pas si j’ai fait quelque chose juste quelques secondes après que je l’ai fait.
Les muscles de mes avant-bras ont commencé à être si douloureux que j’ai trouvé difficile de sortir un récipient d’un demi-gallon de lait de soja du réfrigérateur et d’appuyer sur le bouton de la télécommande pour changer de canal. J’étais terrifiée à l’idée d’avoir la maladie d’Alzheimer ou, pire encore, une tumeur au cerveau. J’étais prêt à demander à mon médecin un scanner ou une IRM pour exclure cette possibilité lorsque j’ai reçu le bulletin électronique et découvert la racine de mon problème. J’ai immédiatement arrêté mon Lipitor.
Quand j’ai montré à mon médecin les informations que j’avais recueillies sur Statins, elle était très intéressée car son propre mari est sur 20mg de Lipitor et se plaignait de problèmes de mémoire et de brouillard cérébral! Elle a dit qu’elle n’avait aucune idée que les deux étaient liés.
5) Ma mère vient d’avoir 80 ans. Elle prend Lipitor pour son cholestérol depuis plusieurs années mais a cessé depuis son épisode. En octobre dernier, elle était au travail et dans sa cour à ramasser et à emballer des feuilles. Ses voisins étaient dehors travaillant dans leur cour aussi. Ils sont venus et ont demandé à ma mère comment elle allait. Elle leur a dit qu’elle venait juste de rentrer du travail et qu’elle voulait savoir qui avait fait tout son travail dans la cour. Ils lui ont dit qu’elle l’avait fait parce qu’ils l’avaient vue. Elle a insisté sur le fait qu’elle ne l’avait pas fait et qu’elle travaillait. Ils l’ont emmenée dans la maison parce qu’ils étaient inquiets et voulaient m’appeler.
Elle ne pouvait pas me souvenir de mon numéro de téléphone, de l’endroit où je travaillais ou de quoi que ce soit. Ils ont trouvé son carnet d’adresses et ont appelé ma maison. Mon mari est allé plus. Elle le connaissait mais jurait qu’elle avait été au travail. Ils ont appelé une ambulance parce que nous avions peur qu’elle ait eu un accident vasculaire cérébral. J’étais sur le chemin du travail et quand je suis arrivé, ils l’ont mise dans l’ambulance. Je suis allé à la salle d’urgence avec elle.
Elle était aux urgences pendant environ 5 ou 6 heures. Pendant les trois ou quatre premières années, elle m’a posé les mêmes questions encore et encore. « Où était-elle? » « Comment est-elle arrivée là? » « Qui a appelé l’ambulance? » « Pour quoi était-elle là? » À peine avait-elle terminé la dernière question et elle recommençait. Après environ 4 heures, cela en a découragé certains. Ils l’ont admise à l’hôpital et se sont présentés à l’IRM, à l’ECG et à d’autres tests pour déterminer si elle avait eu un AVC. Ils sont tous revenus très bien.
Le lendemain, elle pouvait se rappeler où elle était et ce que je lui avais dit sur la façon dont elle était arrivée et pourquoi, mais elle ne se souvient toujours pas de ces 5 ou 6 heures ce jour-là. Un neurologue l’a finalement vue après 3 ou 4 jours et il lui a dit qu’elle avait subi un épisode de « TGA ».
6) Je prends 10 mgs de Lipitor par jour et l’ai fait pour l’année passée. Récemment, j’étais dehors dans mon camion avant le jour (je ne sais pas pourquoi?) Conduisant le long quand une vague de visions est apparue, des choses déformées et la prochaine chose que j’ai su que j’avais heurté une autre voiture s’est arrêtée à une lumière. La police est venue faire une enquête sur l’épave. Une dépanneuse a arraché mon camion et le policier m’a ramené à la maison. Mon fils est venu me chercher pour louer une voiture, nous l’avons fait et je me souviens à peine de tout ça.
J’ai conduit à une station-service et rempli de gaz, eu du mal à utiliser ma carte au « payer à la pompe » mais après quelques essais et de l’aide a fait et a conduit à la maison! Mon fils a dit que je conduisais bien et que je ne m’en souviens pas clairement, mais je suis rentré à la maison et dans quelques heures je suis revenu à la normale et je me souviens de tout ce qui s’est passé depuis! Maintenant, je repense et obtenir des morceaux du matin, mais tout cela est très confus!
7) J’ai juste cette heure passée dans l’info sur la perte de mémoire et l’utilisation de Lipitor. J’ai été sur 20 mg de Lipitor pendant environ 1 an maintenant. Peu de temps après avoir commencé le médicament, j’ai commencé à remarquer une perte de mémoire à court terme. Je ne l’ai cependant pas rapporté à Lipitor. Je suis devenu radicalement pire. Mon médecin n’a pas fait le lien. Il m’a envoyé pour un scanner et le mois prochain j’ai un rendez-vous avec un neurologue.
Après avoir lu certains des articles en ligne, je crois qu’il pourrait bien être associé au Lipitor. Ma mémoire n’affecte pas mes souvenirs passés. Cela m’affecte instantanément. Je pense, oh je dois nettoyer cet endroit sur le sol après avoir fini mon café. Eh bien, je finis mon café et pour la vie de moi, je ne peux tout simplement pas me souvenir de ce que je voulais faire. Je pourrais marcher de mon bureau à la fontaine d’eau et oublier à mi-chemin là où j’allais. Ma famille me dira les détails que j’oublie. Dans une conversation d’une demi-heure, je pourrais me répéter plusieurs fois, au grand dam de ma famille. Il a été très perceptible au cours des 6 derniers mois. J’ai du mal à me souvenir de ce que j’ai dû manger pour le souper la veille.
8) J’apprécie vraiment vos efforts pour rechercher les effets secondaires des statines (tels que Lipitor) et «siffler» sur ceux qui les prescrivent. Mon père a commencé à prendre Lipitor vers mai 2002. C’est peu de temps après que j’ai remarqué des changements chez lui. Parfois, il commençait une histoire puis perdait sa place et d’autres choses se produisaient qu’il oublierait. L’été dernier (juillet 2004) après avoir été sur Lipitor pendant près de 18 mois, ma mère a regardé pendant qu’il s’arrêtait en écrivant un chèque pour payer une facture. C’est quelque chose qu’il a toujours fait, gérer / payer toutes les factures du ménage. Il n’arrivait pas à se rappeler comment écrire la forme longue de la somme d’argent. Il est également devenu très calme.
Normalement, il est la vie de la fête et veut discuter avec tout le monde. Au lieu de cela, il devint silencieux et s’assit seul pendant les fêtes ou avec ma mère. Habituellement, il serait celui qui serait le «papillon social» et quitterait ma mère. Après que ma mère ait mentionné cela à son chiropraticien, on lui a donné un article sur certains des effets secondaires de Lipitor (c’était un article de Newsweek). Après avoir lu cet article, ma mère a insisté pour que les soins primaires de mon père arrêtent son Lipitor. Mon père a subi un tomodensitogramme et une IRM qui s’est avérée normale. Il a également fait faire des tests cognitifs qui excluaient la maladie d’Alzheimer.
9) Mon père (qui a 63 ans) a arrêté Lipitor il y a environ 3 ou 4 mois. Nous voyons encore des signes de problèmes de mémoire / cognitifs. (Dans son examen, il a été invité à expliquer le 11 septembre – il a mentionné les bâtiments touchés par des avions mais ne pouvait pas se rappeler le nom, World Trade Center – ne pouvait pas se rappeler le nom du Pentagone – il a dit qu’il bâtiment du gouvernement et ne se rappelait pas du tout le 4ème avion impliqué) C’est pourquoi nous consultons un neurologue.
10) Je vous ai déjà écrit sur le cas de mon mari. Il a arrêté Statins en juillet 2004 mais a des problèmes cognitifs persistants; questionnement répétitif, type de mémoire à court terme. Il a 60 ans, quadruple pontage 52 ans, Statins depuis 8 ans. Les médicaments BP sont: l’énalapril et l’aténolol. Suppléments: CoQ10, Omega 3; B5, 6, 12, acide folique, cannelle, vitamine C et E. Je suis en larmes aujourd’hui. J’ai l’impression de tomber dans un tunnel. Nous avons reçu le rapport des tests de neuropsychologie. Mon mari a marqué au 9e centile, qu’il interprète comme une éducation de 9e année, et il a un QI de 91.
Le neuropsychologue nous a informés que mon mari ne devrait pas conduire avant d’être évalué. Mots exacts du neuropsychologue: «Compte tenu de l’ampleur de ses difficultés de fonction exécutive, je suis préoccupé par sa capacité à conduire prudemment une automobile et je suggère que ses compétences de conduite soient formellement évaluées par le programme« Getting in Gear »de l’Agence du vieillissement. Des variables telles que le temps de réaction et le champ de vision peuvent être valablement évaluées, il est suggéré de limiter sa conduite jusqu’à ce que ses capacités de conduite puissent être valablement évaluées. «  J’ai appelé le neuropsychologue pour les questions et réponses, mais je n’ai pas encore reçu de rappel.
Ce sont les tests administrés. Juste les noms ont été fournis; pas de données brutes. Échelle d’intelligence adulte Wechsler abrégée, examen de l’état mental, test d’apprentissage verbal II, test et rappel de la figure complexe Rey, tests de formation A / B, test de dénomination de Boston, fluidité verbale (FAS), cannelure cannelée, dépistage sensoriel et perceptuel Beck Depression Inventory-II. Je me sens vraiment terrible en ce moment. J’ai l’impression d’avoir laissé tomber mon mari.
Il est un excellent conducteur. Si je pensais qu’il ne l’était pas, je serais le premier à l’admettre. Il fait 99% de la conduite et dans un été moyen, nous pourrions conduire de 11 000 à 15 000 milles. C’est une telle claque dans le visage. Tout ce que j’essayais de faire était de trouver quelqu’un qui comprendrait ce que les statines ont fait à mon mari et c’est comme si elles l’avaient mis en quarantaine pour rester à la maison dans un fauteuil à bascule. Nous avons eu de bonnes nouvelles aujourd’hui. La CRP de mon mari est <0,2.
CRESTOR – Mensonges et propagande publique Vous avez un taux élevé de cholestérol ce qui signifie que vous présentez un risque de faire une attaque cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. » => FAUX, un taux élevé de Ch est un marqueur de substitution. On s’en fout de « corriger un chiffre ».
Les Statines exposent les patients à des médicaments dangereux aux effets secondaires débilitants.
Les étiquettes des médicaments anti-cholestérol de la classe des statines avertiront désormais de la possibilité de confusion et de perte de mémoire, a annoncé la Food and Drug Administration (FDA) américaine.
Effet Diabétogène des statines
Une étude observationnelle finlandaise parue dans Diabetologia relève une hausse du risque de diabète de 46% sous statine en population générale masculine, la plus forte hausse jamais rapportée.
Je ne suis pas sûr que les fabricants de statines avaient l’intention d’escroquer au début, mais ils n’étaient pas non plus désireux de renoncer à un marché annuel de 30 milliards de dollars facilement. Il y a beaucoup de médecins sincères, bien intentionnés et profondément convaincus qui continueront de soutenir la théorie que le cholestérol alimentaire et les graisses saturées provoquent des maladies cardiaques.
Ils vont continuer à croire que les médicaments pour diminuer le cholestérol vont traiter avec succès et prévenir les maladies cardiaques, en dépit du fait qu’une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) [*analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux États-Unis avec une crise cardiaque a démontré que près de 75% avait un taux de cholestérol « normal ».*]
Alerte sur les médicament statines
« Le mythe anti-cholestérol diffusée par les sociétés pharmaceutiques dans le monde entier pourrait légitimement être considéré le mythe de santé plus meurtrière de l’histoire de l’homme. » -Shane Ellison, chimiste médicinal
WorstPills.org : LA MEILLEUR INFORMATION MONDIALE. Public citizen, organisation d’intéret public sans but lucratif.Nos médecins et pharmaciens analysent les données propres de la
L’utilisation de statines pourrait avec le temps promouvoir le cancer, l’insuffisance cardiaque chronique
les firmes distillent la peur pour ériger le cholestérol en maladie et vendre sciemment des médicaments inefficaces
Mais l’intérêt primordial de cette étude est, à mon humble avis, que les auteurs étaient partis avec l’hypothèse de démontrer que les statines diminuent le risque de cancer du sein ; et ils ont trouvé le contraire ! Obligés d’admettre mais un peu perdus !
ces molécules, réputées jusqu’à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l’usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n’ont malheureusement pas pris le temps de lire l’ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
Cette recherche clinique, menée durant six ans par des cardiologues américains auprès de 950 participants ayant pris quotidiennement des statines, ne montre quasiment aucun effet de prévention d’attaque cardiaque ou cérébrale chez les sujets sans dépôt mesurable de calcium dans leurs artères
Quand les médicaments tuent : La cérivastatine, aurait fait 7 577 décès dans le monde.
Les médicaments anti-cholestérol et la politique de santé publique
brusquement retiré du marché en aout 2001, l’anticholesterol a provoqué 7577 décès dans le monde
Et maintenant, comprenez-vous, Grand-mère, pourquoi votre médecin vous a mise sous statine? moi non plus !
pharmacritique
Parlons statines
témoignage
dysfonction cognitive, la neuropathie, la rhabdomyolyse, la dépression, la neuropathie et l’hépatite
Réseau international de cholestérol sceptiques
Zocor et d’autres statines ont été associées à des lésions musculaires, connue sous le nom de myopathie
Les effets indésirables les plus fréquents des statines sont les myalgies
les résultatsont été plus souvent les utilisateurs de statines (15,9%) par rapport aux témoins (8,6%). Après ajustement pour les facteurs de risque cardio-vasculaire et l’utilisation de concomitant, l’utilisation de statines était associée à un risque accru d’incident de la PR (OR ajusté, 1,71 (IC 95% 1,16 à 2,53), p = 0,007).  Une tendance constante du risque augmentant avec la durée cumulée a augmenté, cumulatif de doses journalières définies et le nombre d’ordonnances n’a pas été observé.  Toutefois, une légère tendance entre la puissance de traitement par statine et le risque de la PR a été trouvé.
Conclusions :L’utilisation des statines semble être associée à un risque accru de développer la PR.  Nos résultats doivent être reproduits par d’autres études.
pourquoi personne ne vérifie cette évidence et continue-t-on  de prescrire une statine pour la prévention de l’accident vasculaire cérébral ?
On pourrait être tenté de voir les statines naturelles (par exemple la levure de riz rouge)  comme une bonne alternative et bien non, une statine reste une statine !
A partir du 1er novembre, les médecins devront soumettre une demande à l’Assurance maladie avant de prescrire du Crestor et de l’Ezetrol à leurs patients.
Le fait que les statines provoquent des effets secondaires est reconnu – il existe aujourd’hui 900 études prouvant leurs effets secondaires, allant des douleurs musculaires à un risque accru de cancer. Voici certains des effets secondaires rapportés
En 2011 et à l’âge de 56 ans, ayant été brutalement confronté à un problème cardiovasculaire (angor à l’effort) que rien ne laissait prévoir au vu de mon hygiène de vie (taux de cholestérol normal, aucun antécédents cardiovasculaires, non-fumeur et très sportif : VTT, planche à voile, musculation…), j’ai eu droit à une angioplastie coronaire au cours de laquelle j’ai eu droit à la pose de 3 stents. À la suite de celle-ci on m’a bien évidemment prescrit une statine : du Tahor 80 (Atorvastatine) qui, en l’espace de 4 mois, non seulement m’a fait passer du statut de quinquagénaire dynamique et sportif à celui de vieillard sénile, mais en plus s’est terminé par une grave allergie cutanée doublée d’un sévère état dépressif.
A la suite de cette intolérance mon cardiologue m’a donc prescrit du Crestor 10mg (Rosuvastatine) qui m’a rapidement occasionné les mêmes effets secondaires : très grosse fatigue et état dépressif.
Lors de la consultation suivante, (qui fut plutôt houleuse vu l’intolérance de ce monsieur !), alors que je lui faisait par de mes réticences vis-a-vis des statines, il a persisté à vouloir me prescrire non seulement des statines, mais aussi antidépresseurs et antiasthéniques afin de compenser les effets délétères de celles-ci !
Devant mon refus catégorique et en désespoir de cause, il a ensuite voulu absolument me prescrire de l’Ezetrol (Ézétimibe). Fortement échaudé par mes deux premières expériences, j’ai donc effectué des recherches sur ce produit et j’ai découvert que l’Ézémimibe réduisait certes le taux de cholestérol mais n’avait strictement aucune efficacité sur les maladies cardiovasculaires (cf essais cliniques ARBITER 6-HALTS et suivantes). Cette absence d’efficacité ayant déjà été abordée maintes fois par la FDA (U S Food and Drug Administration) ainsi que par la HAS qui confirment la totale inefficacité non seulement de l’Ézétimibe, mais aussi des fibrates, résines et acide nicotinique à réduire les maladies et la mortalité cardiovasculaires[1].
Suite à cette découverte, j’ai continué mes recherches sur les statines et le cholestérol et après avoir sérieusement analysé divers protocoles de test concernant les statines (voir page Liste des essais cliniques traités pour une vue d’ensemble), j’ai rapidement découvert que, contrairement à ce que les laboratoires pharmaceutiques nous poussent à croire, non seulement les statines sont quasiment inefficaces (surtout au regard de la dangerosité de leurs effets secondaires…) mais que le cholestérol n’est pas « la » cause des maladies cardiovasculaires et vouloir absolument le faire baisser à des niveaux très bas est extrêmement dangereux pour la santé à long terme, ce qui est confirmé par de nombreuses études qui prouvent que paradoxalement, on vit plus vieux et en meilleur santé avec un taux de cholestérol élevé !
Double le risque de cancer du sein !
anticholestérol cancer du sein

Les statines provoquent Alzheimer

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Anti-cholesterol fibrate

Jusqu’à présent, les fibrates n’ont jamais fait montre d’une quelconque efficacité à réduire les maladies cardiovasculaires
Cette absence d’efficacité ayant déjà été abordée maintes fois par la FDA (U S Food and Drug Administration) ainsi que par la HAS qui confirment la totale inefficacité non seulement de l’Ézétimibe, mais aussi des fibrates, résines et acide nicotinique à réduire les maladies et la mortalité cardiovasculaire
Les fibrates, médicaments anti-cholestérol de première génération : Gemfibrozi,l Fénofibrate, Bézafibrate, Ciprofibrate, Clofibrate.
provoquent tous ces cancers chez l’animal
La mortalité dans le groupe traité a été 1,74 fois plus grande que dans le groupe sous placebo, avec une validité statistique très forte! Après la fin du traitement, la surmortalité du groupe traité s’est résorbée progressivement
Comme le cite les auteurs dans la conclusion de l’étude, le chlofibrate est inefficace !
Comme on peut le constater, le chlofibrate est inefficace ! La mortalité toutes causes etant légèrement supérieure avec le Gemfibrozil qu’avec le placebo sur 5 ans. Sans compter, l’augmentation de 22% de la mortalité toutes causes et celle de 67% des cancers constaté lors du follow-up sur 8,5 ans !
Comme on peut le constater, le chlofibrate est inefficace ! La légère baisse des décès par maladie cardiovasculaire étant plus qu’annulée par l’augmentation des décès par AVC; ce qui, au final, revient à constater que l’on décède plus avec le Bézafibrate qu’avec le placebo !
ET LES « AUTRES » MEDICAMENTS ANTI-CHOLESTEROL ? UTILES OU NUISIBLES ? EFFICACES OU TOXIQUES ?
Dans la deuxième catégorie, on a la famille des fibrates généralement prescrit pour diminuer le cholestérol ou les triglycérides [le plus célèbre en France est le Lipanthyl*, prescrit depuis des décennies sans la moindre évidence scientifique que ce soit utile à la santé] ; et la famille des glitazones [parmi lesquels on trouvait l’Actos* et l’Avandia*] plutôt réservés aux diabétiques … et qui baissent effectivement le glucose dans le sang mais qui, en terme de santé, ne servent à rien sinon à empoisonner nos patients. Et ceux qui ont arrêté leur statine depuis longtemps se souviennent du scandale de l’AVANDIA..
Après 30 ans de recherche fondamentale et clinique et une grande partie du travail, il est devenu évident en 1978 environ que clofibrate n’ était pas un médicament approprié à utiliser pour réduire les taux de cholestérol élevé de plasma et de LDL et de morbidité et de mortalité par maladie coronarienne. Les effets positifs étaient de petite taille et les effets négatifs inacceptables grande. Pourtant, il était le seul médicament hypolipémiant disponibles dans les années 1960.
seule référence française en terme de liberté éditoriale, a récemment classé les fibrates dans la liste des 90 médicaments à éliminer d’urgence pour cause d’inefficacité et de dangerosité.
En 1954, Jean Cottet, chercheur français, constate que des ouvriers agricoles auvergnats qui ont inhalés un pesticide utilisés dans les champs alentours ont vu leur taux de cholestérol s’effondrer. Il en parle à un chimiste de la société anglaise ICI. Celui-ci identifie le potentiel de cette découverte, et synthétise un composé dérivé de ce pesticide, le clofibrate. Il contacte alors Michael Oliver (pas Michel !), médecin anglais qui s’intéressait beaucoup au cholestérol. Ce dernier teste le produit sur des rats puis des patients et confirme la baisse du cholestérol obtenu grâce au clofibrate.
L’Organisation Mondiale de la Santé confie en 1964 à Michael Oliver l’organisation d’un grand essai clinique pour évaluer l’effet du clofibrate sur la prévention de l’infarctus chez 15000 hommes européens ayant un taux de cholestérol élevé. Les espoirs sont immenses, et à l’époque, on évaluait encore les politiques de santé publique avant de les mettre en oeuvre…
Malheureusement, c’est un désastre : les hommes traités meurent plus que les « témoins » sous placebo. Le nombre de cancers et de calculs de la vésicule augmente également chez les patients sous clofibrate par rapport à ceux sous placebo. Le clofibrate termine brutalement sa carrière, alors que l’industrie pharmaceutique est déjà en train de commercialiser d’autres médicaments cousins du clofibrate. Or, les essais cliniques avec ces nouveaux fibrates donnent des résultats tout aussi négatifs.
Un laboratoire français, Fournier, trouve alors LA solution : il commercialise le fenofibrate, vendu sous le nom de Lipanthyl, et ne réalise aucune étude pour démontrer que son médicament épargne des vies ou des accidents cardiovasculaires mortels. Le Lipanthyl fait baisser le cholestérol, point ; les médecins et les patients devront se contenter de cette information. Inutile de courir le risque de devoir publier une étude défavorable à ce médicament. L’argent économisé est judicieusement investi dans la promotion directe du produit auprès des médecins.

ne jmais faire confiance a un médecin

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Levure de riz rouge

La levure de riz rouge et autres fumisteries du même genre (que l’on vous vend souvent très cher, en plus…) : Pour introduire celle-ci, je ne vais pas y aller par quatre chemins : la levure de riz rouge ne sert à rien, est dangereuse pour la santé et n’a strictement aucune incidence sur la réduction des maladies cardiovasculaires.

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Les médecins

Je suis un médecin de famille à la retraite et ancien astronaute scientifique de la NASA.
statines, cancer
Le mythe du cholestérol : De nouvelles recommandations de traitement du cholestérol transforment des gens bien-portants en malades.
Le cholestérol n’est pas à l’origine des maladies cardiovasculaires.
Le Dr Rath a découvert la relation entre les maladies cardiaques et une carence en vitamines. Ses découvertes ont montré que les maladies cardio-vasculaires ont exactement la même origine que le scorbut clinique (une carence en vitamine C dans les cellules qui constituent les parois artérielles).
Cholestérol? Connais pas! par le docteur Zaffran marc (martin Winckler)
je ne fais pas doser mon cholestérol.
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Justice et anti-cholesterol

Avocats, condamnations, class action…
Le 14 Janvier 2008, le New York Times a rapporté que d’un essai clinique de Zetia visant à démontrer que le médicament pourrait réduire la croissance des plaques de dépôts gras dans les artères plutôt montré une croissance de plaques
Déjà 1,1 milliard de dollars ont été dépensés pour régler près de 3000 cas à l’amiable.
de graves effets secondaires tels que la maladie musculaire grave et insuffisance rénale mortel
recherche
recherche
recherche
Les patients prenant Lipitor – le best-seller de la médecine du cholestérol dans le monde avec 22 millions d’utilisateurs – ont commencé à poursuivre Pfizer en Juin, alléguant que la physique des effets secondaires négatifs tels que des douleurs musculaires, lésions nerveuses, des cauchemars, perte de mémoire et d’autres problèmes du système nerveux central n’ont pas été bien expliqué quand on leur a prescrit le médicament.
STOP MED TORTURE MAIN
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Solutions et pétition internationale

Alerte statine et anticholestérol
Un taux faible de cholestérol induit de la dépression, le suicide, des lésions musculaires, de la perte de mémoire, de grave troubles neurologiques et une mauvaise santé en générale.
sa cause primaire est une insuffisance en ascorbate, menant au dépôt de lipoprotéine(a) et de fibrinogène/fibrine dans la paroi vasculaire
Sa cause principale est une insuffisance en vitamine C
Publication scientifique dans le « Journal of Orthomolecular Medicine » en 1991 ( 6:125-134) dr Matthias Rath et dr Linus Pauling
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Quelques livres cholesterol, anticholestérol, santé et escroqueries

En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
Or, et c’est l’objet essentiel de ce livre, les vrais responsables de toutes ces dérives sont nos mille cliniciens universitaires, dont le bagage scientifique, contrairement à ce qu’ils prétendent, est extraordinairement réduit, spécialement dans les disciplines liées au médicament et à son évaluation, biochimie, pharmacologie et statistiques. La plupart n’ont pas la moindre idée de la réalité. Ils ne lisent, au mieux, que le titre et la brève conclusion des articles scientifiques et croient s’informer à travers les bavardages de couloir ou les présentations-minute des congrès médicaux, sans jamais remonter aux sources ni faire de lecture critique, attentive, calculette en main, des grands journaux anglo-saxons falsifiés par l’industrie et présentés de façon à la servir. Ces universitaires-là constituent une masse inerte, toujours prête à avaler les couleuvres et convaincus que les médicaments les plus récents et les plus chers sont les meilleurs, alors que c’est malheureusement presque toujours l’inverse.Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.Ce livre raconte l’histoire des leaders d’opinion clé aux États-Unis ou ailleurs dans le monde et en sélectionne, en France, une trentaine, dans les disciplines représentant les plus grands marchés, cardiologie, cancérologie, rhumatologie et psychiatrie. Pièces en main et nominalement, sont décrites leurs activités au service d’une industrie dont, universitaires et fonctionnaires de l’État, ils sont devenus les employés. »
ce médecin dresse un véritable réquisitoire contre la « course folle » à la baisse du taux de cholestérol
La vérité sur le cholestérol (prf p Even) Il a analysé 45 essais cliniques sur ces médicaments pour conclure que « d’une manière ou d’une autre, et souvent de plusieurs manières, chaque essai multiplie les pièges, les illusions, les non-dits, les chausse-trapes et pour tout
L’arnaque du méchant cholestérol et des bonne statines Certes, le ‘grand mythe du cholestérol‘ n’est pas le premier livre sur le sujet (voir par exemple ‘Cholestérol, mensonges et propagande‘ ou encore ‘La vérité sur le cholestérol‘). Mais il est un fait que toutes les études confirme l’ineptie de ce concept, ce que vient brillement expliquer cet ouvrage. Il est assez étonnant que de nos jours, certains cardiologues et médecins en soit encore à prescrire des statines avec largesse, au mépris de toutes les études scientifiques à charge. Les auteurs ne manque pas de rappeler l’ énorme chiffre d’affaire généré par ce business ‘statinien’… Faut-il le redire ? Le Cholestérol est une molécule essentielle à notre métabolisme, et en aucun cas, comme le démontre les auteurs, responsable de la formation de la plaque d’athérome, et encore moins des maladies cardio-vasculaires en général! Quand aux statines, après avoir lu cet ouvrage fort pédagogique sur le sujet, vous ne les regarderez probablement pas d’un œil bienveillant…
De plus en plus de médecins, et de patients, ont des doutes concernant l’efficacité réelle des médicaments anti-cholestérol, notamment les statines, pour se protéger des maladies cardiovasculaires.
On montre que les statines perturbent gravement la vie sexuelle des patients jusqu’à, par exemple, multiplier par sept le risque de troubles de l’érection chez les hommes.
The Great Cholesterol Con de anthony Colpo
vous apprendrez comment des décennies de recherche, publiés dans le monde des revues médicales les plus prestigieuses, montrent clairement que la campagne anti-cholestérol est un farce !
•Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs.
Des millions de personnes sont apparemment dus à un parce qu’arbitrairement défini, haut cholestérol traités avec affectent l’athérosclérose pouvait être pas prouvé jusqu’à aujourd’hui et la réduction peut même blesser les gens.
« La personne qui a le plus de probabilité dvous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. Ce livre te montrera comment se protége
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Les médicaments d’ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels.
Tous ces scandales comportent exactement les mêmes ingrédients que celui du Mediator : un marketing cynique de molécules dangereuses, des essais cliniques manipulés ou gardés sous le boisseau, des experts aux conflits d’intérêts multiples et variés, des agences sanitaires complaisantes ou passives,des systèmes de pharmacovigilance étrangement peu réactifs, des médecins mal informés ou cooptés, des associations de patients sous influence, des journaux médicaux et des médias achetés à coup de publicité, des politiciens soucieux de protéger un secteur industriel stratégique. On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption, de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée;et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
de dr Marcia Angell
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
Trente à quarante mille décès par an, en France, sont dus aux actes médicaux : erreurs de praticiens, maladies nosocomiales, médicaments aux effets mal évalués… Dix fois plus que les accidents de la route. Mais les pouvoirs publics sont étrangement inertes, la communication bien plus discrète.
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses, qu’aucune étude prouve l’efficacité des médicaments expectorants et antitussifs, que les médicaments occuperaient entre la quatrième et la sixième place dans les causes de mortalité, tout ça pendant que les PDG des industries pharmaceutiques gagnent en moyenne un revenu annuel de 21 millions de dollars chacun. Instructif, critique et bien documenté.
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
Loin d’être un réquisitoire contre la science ou la médecine, ce livre pointe du doigt l’inquiétante corruption de ces milieux, cause de scandales et de mensonges institutionnalisés : médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones, les vaccinations… Sylvie Simon indique clairement à qui profite cette désinformation
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
Histoire des origines de la mafia médicale , les voyous dont vous pensiez qu’ils vous aidaient au mieux pour vos maladies
Les Rockefellers possèdent la plus grande fabrication de médicaments  dans le monde et utilisent tous leurs autres intérêts pour faire pression pour augmenter la vente de médicaments. Le fait que la plupart des 12 000 produits pharmaceutiques distincts sur le marché soient nocifs ne préoccupe pas le Drug Trust
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée. Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée. Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée.
2 200 000 le nombre d’hospitalisations liées aux effets secondaires des médicaments et à 783 936 décès, soit plus que les morts par maladies cardiaques, 699 687, et celles par le cancer, 553 251. De plus l’équipe pointait 8 900 000 hospitalisations inutiles dont 7 5000 000 actes médiatisés et chirurgicaux, enfin, elle dénonçait 20 millions d’antibiotiques prescrits à tort
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
Dr. Erika Schwartz estime que le patient d’aujourd’hui est, mais une feuille dans le vent de protocoles groupe-think, sociétés médicales corrompus, les compagnies d’assurance sur la prise, et un milliard de dollars dans le marketing et la pression du lobbying des compagnies pharmaceutiques.
Corruption systématique
L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
Avec 100.000 décès annuels, un million de blessés graves et un autre deux millions lésés lors de l’hospitalisation, les réactions indésirables aux médicaments se classent comme l’un des plus grands dangers pour l’homme dans la société moderne.
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…
L’idée d’une maladie de civilisation [c’est-à-dire due aux activités industrielles de l’homme et non « naturelle »] était communément admise dans les années 30. Dans les années 50 encore, John Higginson, épidémiologiste du cancer et directeur du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à l’OMS, estimait que environ 80% à 90% des cancers sont provoqués par des facteurs environnementaux, c’est-à-dire essentiellement liés au cadre de vie ou au travail. En 1960, René Dubos, professeur de biologie moléculaire à l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, écrits que les cancers sont inconnus des « peuples primitifs » « tant que rien ne change dans leur mode de vie ancestral ».
Or, non seulement cette idée ne fait plus autorité aujourd’hui, mais elle se trouve immédiatement récusée et presque démentie, comme si de nouvelles données l’avaient remisée parmi les vieilles lunes. Il n’en est rien. Il semble plutôt que la maladie dite environnementale soit d’autant plus niée que la pression s’accentue et que les populations s’inquiètent davantage d’un environnement toxique. (…) Par ailleurs, le discours scientifique parvient à marginaliser les lanceurs d’alerte et à les faire passer pour des réfractaires au progrès, nostalgiques de la bougie ou du charbon. (…)
Pas peur du cancer / keine angst vor krebs (1978)
Les risques du dépistage – modèle cas la prostate / du professeur Julius Hacketha
La crainte générale du cancer est sans fondement. Il est basé sur les erreurs et les mensonges. La plupart des cancers sont des crabes de compagnie bénignes. Ils ne nécessitent aucun traitement.
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
Andrew Wakefield révèle de l’intérieur l’histoire de la connexion vaccin-autisme et ses recherches controversées. Comme le dit Andrew Wakefield dans son prologue, « si l’autisme n’affecte pas votre famille maintenant, il va le faire bientot,  si quelque chose ne change pas — et rapidement,  c’est presque une certitude mathématique.
Voici un ouvrage indispensable pour comprendre la dérive intellectuelle et morale de la science moderne occidentale, malheureusement copiée à la lettre par le reste du monde !
Ce livre démontre sans aucune contradiction possible que le vaccin du tétanos ou son traitement avec sérum n’a aucun fondement scientifique.

L’objectif des auteurs est montré les stratégies du lobbying des laboratoires et de pointer les conflits d’intérêts liant les industriels avec les politiques et les autorités.De comprendre, par exemple pourquoi les génériques sont vendus 30 % plus chers en France qu’en Italie ou qu’un médicament contre l’hépatite C est commercialisé 256 fois son prix de revient au laboratoire (les labos gonflent les chiffres en y incluant les dépenses de marketing, de communication).

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Liens divers

 » La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »docteur Vernon
« COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER »
Avocats, condamnations, class action…
« Ce sont des substances extrêmement dangereuses qui auraient dû être interdites, comme des médicaments similaires l’ont été dans le passé »
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
massacre de la population
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Le cholestérol est innocent ! La problématique du cholestérol- statine- Dr Michel de Lorgeril

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Médicaments anti-cholestérol : la grande manipulation

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STATINES ET CHOLESTEROL : ILLUSIONS SCIENTIFIQUES ET MEDICALES

 

http://michel.delorgeril.info/index.php/2009/06/21/44-statines-et-cholesterol-illusions-scientifiques-et-medicales

STATINES ET CHOLESTEROL : ILLUSIONS SCIENTIFIQUES ET MEDICALES

Par de Lorgeril, Michel, dimanche 21 juin 2009 à 16:15 :: Cholestérol :: #44 :: rss

Les statines sont des médicaments qui abaissent le cholestérol du sang. Sont-ils utiles pour empêcher l’infarctus et diminuer la mortalité cardiovasculaire ? Ce texte vise à éclairer les lecteurs pressés sur ces deux points. Rien ne peut remplacer toutefois la lecture attentive de mes deux livres sur "l’innocence du cholestérol" et sur "cholestérol, mensonges et propagande".
INTRODUCTION

Les statines sont des médicaments qui abaissent le cholestérol du sang.
Ils représentent désormais un des plus gros chiffres d’affaire de l’industrie pharmaceutique avec près de 7 millions d’utilisateurs plus ou moins réguliers rien qu’en France. Plus prosaïquement, ils sont responsables à eux seuls d’un déficit d’environ un milliard d’euros par an de l’Assurance Maladie.
Ces médicaments anti-cholestérol soulèvent deux importantes questions:
premièrement, est-ce que leur puissance anti-cholestérol se traduit effectivement par une diminution du risque de mourir d’une crise cardiaque ou de faire un infarctus du myocarde ?
Deuxièmement, y a-t-il un prix à payer sous forme d’effet toxique, en parallèle à cette diminution du cholestérol ?
En d’autres termes, les statines sont-elles bien tolérées ?
Ce texte vise, après quelques généralités, à répondre simplement et brièvement à ces deux questions.

GENERALITES
Les statines agissent sur le cholestérol par un mécanisme biologique clairement identifié : blocage partiel du système enzymatique qui gouverne la synthèse du cholestérol dans nos cellules, notamment au niveau du foie.
Il y a en effet deux sources de cholestérol : le cholestérol de l’alimentation – qui ne joue aucun rôle sur le niveau de cholestérol dans le sang – et le cholestérol que nos cellules fabriquent elles-mêmes en fonction de leurs besoins.
Toutes nos cellules sont capables de synthétiser le cholestérol car elles ont toutes besoin de cholestérol pour structurer leurs membranes, et avoir une fonctionnalité optimale.
Mais certaines cellules ont besoin de plus de cholestérol que leurs besoins propres car, à partir du cholestérol, elles fabriquent des substances très importantes pour notre physiologie générale.
Elles exportent ensuite ces substances vers d’autres cellules. Par exemple, les ovaires et les testicules fabriquent les hormones sexuelles – indispensables à la reproduction, donc à la survie de l’espèce – à partir du cholestérol. Aussi à partir du cholestérol, les glandes surrénales fabriquent les stéroïdes, ou hormones du stress, indispensables, par exemple, pour échapper aux prédateurs ou bien pour chasser le gibier et se nourrir (et encore survivre).
Pour ces raisons, le cholestérol fait l’objet d’un transport permanent dans le sang des organes producteurs de cholestérol – notamment le foie – vers les organes gros utilisateurs du cholestérol, par exemple les glandes sexuelles.

Le cholestérol mesuré lors de la prise de sang ne renseigne donc que sur le transport sanguin du cholestérol, et pas du tout sur son rôle physiologique.

Ce sont des lipoprotéines – des complexes moléculaires – qui assurent ce trafic sanguin du cholestérol. La principale lipoprotéine est appelée LDL, de l’anglais Low Density Lipoprotein.
Le cholestérol est livré aux organes qui en ont besoin via un système de récepteurs appelés LDL-récepteur.
Les statines diminuent la synthèse du cholestérol essentiellement dans le foie, le principal organe producteur.

Information cruciale donc : le cholestérol est une molécule indispensable à la vie de nos cellules et aussi indispensable à notre santé.

Vouloir à tous prix, ou espérer inconsidérément, avoir un cholestérol bas ou très bas – ou le plus bas possible comme disent certains médecins inconscients ou victimes du marketing de l’industrie pharmaceutique – ne relève d’aucune rationalité scientifique.
De plus, comme je l’explique longuement dans mes livres, le cholestérol est innocent de tous les maux qui lui sont attribués – ce qui fait l’objet de la deuxième partie de ce texte.
Manquer de cholestérol, y compris de façon relative, peut avoir de graves conséquences pour notre santé et c’est l’objet de la troisième partie de ce texte.
Auparavant, il faut rappeler ce qu’est un déficit sévère et spontané en cholestérol, c’est-à-dire en l’absence de tout médicament ou régime anti-cholestérol.
Le plus fréquent de ces syndromes héréditaires est le Syndrome de Smith-Lemli-Opitz.
Ce syndrome nous apprend beaucoup et montre, en dehors de toute toxicité médicamenteuse, quelles sont les conséquences d’un cholestérol bas ou très bas. Ce syndrome est relativement fréquent, environ 1 cas pour 5000 naissances, en ne tenant compte que des cas très sévères détectés à la naissance du fait d’anomalies morphologiques. Les cas “bénins” sont probablement beaucoup plus fréquents. Dans ce cas, les manifestations infectieuses (faiblesse du système immunitaire) et psychiatriques – autisme, suicide, délinquance – sont au premier plan.
Ce tableau clinique rappelle les données épidémiologiques concernant la relation entre le cholestérol et l’espérance de vie à l’âge adulte : en bref, les sujets avec un cholestérol bas ont une espérance de vie diminuée par rapport à ceux qui ont un cholestérol dit normal ou modérément élevé (selon les nouvelles normes).
Les causes des décès associés à un cholestérol bas sont essentiellement des morts violentes (accidents et suicides) et des cancers.
Il nous reste certes beaucoup à apprendre sur ce syndrome mais il est urgent que les médecins et le public soient informés de ces notions médicales cruciales afin que l’actuel délire concernant l’absolue nécessité de diminuer le cholestérol cesse rapidement.

ABAISSER SON CHOLESTEROL EST-IL BON POUR LA SANTE ?

Cette question fait l’objet de nombreuses discussions et polémiques parmi les experts depuis environ 50 ans, comme raconté dans deux livres récents (ci-dessous) en français.
Michel de Lorgeril. “Cholestérol, mensonges et propagande” Editions Souccar, 2008.
Michel de Lorgeril. “Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent ” Editions Souccar, 2007.
L’idée qu’il faille avoir un cholestérol bas pour être en bonne santé est basée sur la théorie du cholestérol qui dit de façon schématique : plus on diminue le cholestérol et plus on diminue le risque d’avoir un infarctus.
Et aussi : plus le risque d’avoir un infarctus est élevé et plus la diminution du cholestérol est efficace pour l’empêcher.
Un examen lucide de cette théorie montre qu’elle ne tient pas debout scientifiquement, tout simplement.
En fait, la seule manière de montrer sans ambigüité que diminuer le cholestérol est bon pour notre santé, c’est de faire des essais cliniques avec un tirage au sort et constitution d’un groupe expérimental. Les patients dans ce groupe reçoivent le médicament et sont comparés à un groupe témoin qui reçoit un placebo.
Les autres études – chez l’animal, dans des tubes à essai ou chez l’homme mais sans tirage au sort – ne permettent pas de conclusions.
En particulier, les études épidémiologiques montrant une relation entre cholestérol et risque d’infarctus du myocarde ont une très faible validité scientifique (voir les livres cités ci-dessus).

Cette évidence a été parfaitement comprise par l’industrie pharmaceutique et ses alliés qui depuis quelques années basent l’intégralité de leur marketing sur les essais cliniques.

Malheureusement, il est devenu clair que des essais cliniques conduits par des sponsors souhaitant que – c’est la notion de conflit d’intérêt – les résultats soient favorables au produit n’ont pas de valeur scientifique car ils sont contaminés par des biais méthodologiques.
Ceux-ci sont souvent manifestes pour des investigateurs expérimentés mais difficiles à détecter par les médecins, y compris les universitaires, qui tombent souvent dans ces pièges grossiers du marketing.
Aujourd’hui, de plus en plus de voix se font entendre pour dire que la majorité des essais cliniques testant les statines, notamment ceux présentant des résultats spectaculaires en faveur des statines, sont massivement biaisés.
Comme raconté dans les livres cités ci-dessus, il y a eu environ 25 essais cliniques testant une des statines commercialisées. Quand les essais publiés sont favorables au produit testé, tout observateur impartial ne peut manquer de constater que : 1) ils font l’objet d’un marketing intensif auprès des médecins ; 2) ils présentent très souvent des défauts techniques rendant extrêmement douteux leur validité; 3) ces défauts techniques sont plus ou moins masqués rendant leur identification difficile par des médecins peu experts en statistiques.

Parmi les mises en scènes les plus caricaturales, on notera celles concernant les effets des statines dans :
1) l’insuffisance cardiaque,
2) l’insuffisance rénale,
3) le diabète,
4) la prévention des accidents vasculaires cérébraux,
5) la protection des patients avec une pathologie aortique.

Certains experts remettent également en cause l’efficacité des statines dans diverses autres circonstances, notamment chez les seniors (les plus de 70 ans pour faire simple), les femmes (quelque soit l’âge et la pathologie sous-jacente) et les enfants.
Comme il est impossible de faire un bilan des essais avec des statines dans un court texte, on va décrire, à titre d’illustration, un exemple récent : l’étude JUPITER.
JUPITER est le nom d’un essai testant la rosuvastatine chez des personnes indemnes de toute maladie justifiant un traitement et qui n’avaient même pas un cholestérol élevé dans le sang.
Les investigateurs et le sponsor posaient l’hypothèse que même en l’absence de cholestérol élevé et de maladies artérielles, il pouvait être très utile de prendre cette statine (probablement à vie) pour se protéger de l’infarctus et de l’accident vasculaire cérébral.
Avant JUPITER, aucun essai n’avait montré que la rosuvastatine pouvait sauver des vies ou diminuer le risque d’infarctus.
Au contraire, deux essais conduits chez des patients très malades (insuffisance rénale ou dysfonction cardiaque) – et chez lesquels il était initialement prétendu que, parce qu’ils étaient gravement malades, ils profiteraient d’autant plus d’une diminution sévère de leur cholestérol – s’étaient avérés totalement négatifs.
Autrement dit, des diminutions drastiques du cholestérol n’avaient eu aucun effet bénéfique, en contradiction totale avec la théorie du cholestérol.
Le plan d’analyse initial de JUPITER était que les patients devaient être suivis au moins 4 ans pour espérer voir un effet bénéfique du traitement.
Mais au bout de moins de deux ans, JUPITER a été arrêté par le sponsor et les investigateurs sous prétexte que les effets bénéfiques étaient extraordinaires.

C’était un peu comme si dans une course de chevaux prévus sur 4 tours d’hippodrome, les organisateurs (qui avaient eux-mêmes engagé un cheval et parié très gros sur lui) décident d’arrêter la course après moins de 2 tours sous prétexte que leur favori a une si grande avance qu’il ne peut plus être rattrapé !

Les investigateurs et le sponsor ont prétendu que les sujets recevant la statine bénéficient d’une “diminution importante de la morbidité et de la mortalité cardiaque”.
En fait, un examen attentif des chiffres, et quelques petits calculs, montrent sans ambigüité que le nombre de décès d’origine cardiovasculaire est identique dans les deux groupes.
Pire, si on admet qu’il y a eu réellement moins de complications non mortelles, cela signifierait il y aurait eu dans JUPITER une diminution des infarctus sans diminution de la mortalité par infarctus !
Pour un épidémiologiste, ceci est impossible car la mortalité de l’infarctus est d’environ 50% quelque soit la population étudiée. Un calcul rapide montre que cette mortalité de l’infarctus est inférieure à 10% dans le groupe non traité, ce qui est à nouveau impossible.
Ces incohérences cliniques, observées dans le contexte d’un essai arrêté prématurément sans raison, indiquent que les résultats de JUPITER sont sévèrement biaisés et peu crédibles.

Il faudrait une enquête quasi policière pour déterminer si ces biais ont été construits intentionnellement, ou s’ils ont été involontaires.

Ceci dit, les résultats de JUPITER sont sans intérêt pour les médecins.
Pourtant, ils ont fait l’objet d’un concert médiatique particulièrement bruyant, faisant même la Une de quotidiens d’information générale comme Le Figaro.
Tous les grands médias spécialisés ont repris les résultats de JUPITER sans aucune critique.
Très peu de voix se sont fait entendre pour émettre des doutes.
Mais il y a pire : trois mois plus tard, deux nouveaux articles publiés dans des revues prestigieuses rapportaient à nouveau des résultats de JUPITER, soit disant originaux, mais utilisant la même base de données biaisées. On fait comme si une nouvelle étude JUPITER a été réalisée. Cette répétition de résultats est utilisée systématiquement par le marketing industriel selon les techniques de la propagande.
Si JUPITER était un cas unique, ce pourrait être anecdotique. Mais presque tous les essais des statines présentent les mêmes défauts rédhibitoires.
L’inspection objective des essais testant les statines nous conduit à conclure qu’il n’y a pas de démonstration scientifique convaincante que diminuer le cholestérol avec une statine a des conséquences favorables pour la santé.
Y a-t-il des inconvénients des statines ?

LES EFFETS DELETERES DES STATINES

Beaucoup de médecins ont des doutes concernant les effets protecteurs des statines.
C’est leur pratique qui a suscité ce scepticisme : ils n’ont pas l’impression que les patients traités sont protégés par rapport à ceux qui ne sont pas traités.
Mais ces impressions sont subjectives et par prudence ils continuent de prescrire en espérant que si ces médicaments ne font pas de bien au moins ils ne font pas de mal.
C’est une grave erreur !
Mais nul ne saurait le leur reprocher car tout est fait aujourd’hui pour leur donner l’illusion que les statines sont parfaitement tolérées. En effet, on peut lire sous la plume de scientifiques renommés que les effets secondaires des statines sont rarissimes.
Par exemple, selon ces drôles d’experts, moins d’un patient sur 1000 présenterait des symptômes musculaires ou ligamentaires sous statine.
Cette information est répétée ad nauseam dans les congrès et journaux médicaux.
A l’autre extrême, pour certains experts examinant cette question non pas dans des essais cliniques sponsorisés par l’industrie mais dans des consultations de patients non sélectionnés (bref, dans la vraie vie), près d’un patient sur deux se plaindraient de troubles musculaires sous l’effet des statines.
Le contraste est saisissant !
La question de savoir qui il faut croire ne se pose même pas.
D’un côté, des investigateurs désintéressés qui n’ont aucune raison de noircir le tableau, de l’autre, des employés de l’industrie avec des conflits d’intérêt si énormes qu’il n’est même pas utile de les commenter !
Cette toxicité musculaire a de graves conséquences car elle dissuade de pratiquer un exercice musculaire significatif qui pourrait être crucial voire salvateur dans certains conditions cliniques notamment dans le diabète, l’insuffisance cardiaque et après un infarctus du myocarde.
Outre les symptômes musculaires, ligamentaires, hépatiques ou digestifs qui peuvent empoisonner la vie quotidienne des patients, ou de sujets en très bonne santé par ailleurs s’ils ne consommaient pas ces médicaments, il y a aussi des effets sournois des statines – et des traitements anti-cholestérol en général – qui sont beaucoup plus inquiétants.
En bref, ces effets secondaires restent longtemps silencieux cliniquement.

Ils sont mal documentés car on n’a jamais vu des industriels se faire de la contre-publicité à moins d’y être contraints.
Cette absence de documentation – d’autant plus alarmante que rien n’est fait pour la corriger – doit nous inciter à la plus grande prudence. Un scientifique doit s’abstenir de déclarations intempestives en l’absence de documentation étayée. Inversement, la gravité des soupçons en l’absence de bénéfices de ces traitements, le Principe de Précaution et finalement le devoir d’informer les patients traités nous incitent à ne pas rester silencieux.

De fait, des données convergentes font penser que diminuer le cholestérol – notamment avec des médicaments – augmente le risque de cancers de façon substantielle dans certaines circonstances.

Quoique nous nous refusions à tout alarmisme, il semble que dans certaines catégories d’âge – au-delà de 60 ans– l’augmentation du risque puisse être importante (>50%) et sur une période de traitement brève, moins de 5 ans.
Il serait urgent que des experts indépendants de l’industrie se penchent attentivement sur cette question. Une incitation administrative y contribuerait.
D’autres effets secondaires, également difficiles à diagnostiquer et très mal documentés, concernent la toxicité neurologique des statines. Des données scientifiques solides et des témoignages multiples nous semblent très inquiétants.
Comme pour le cancer, les connaissances actuelles sur les effets des statines sur le déclin cognitif sont décrites et discutés dans le livre “cholestérol, mensonges et propagande”.

CONCLUSIONS

Les statines sont d’excellents médicaments pour diminuer le cholestérol. Les données scientifiques nous indiquent toutefois que diminuer le cholestérol ne sert à rien car il est dans la très grande majorité des cas totalement innocent de tous les vices qu’on lui attribue.
Un cholestérol élevé peut certes être révélateur d’un mode de vie délétère, mais le cholestérol est un témoin innocent.

Diminuer le cholestérol avec un médicament sans modifier le mode de vie ne réduit pas le risque d’infarctus et n’augmente pas l’espérance de vie.

Pire, les traitements anti-cholestérol, y compris les statines, ont des effets secondaires sévères et souvent torpides et un cholestérol bas est associé à une diminution de l’espérance de vie.

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Les nouvelles normes du cholestérol transforment les personnes saines en personnes malades

http://phill443.unblog.fr/2008/09/26/les-nouvelles-normes-aberrantes-du-cholesterol-par-le-dr-uravnskov/

Les Nouvelles Normes Aberrantes du Cholestérol. Par le Dr U.Ravnskov

Les nouvelles normes du cholestérol transformant

les personnes saines en personnes malades 

    

  

 Uffe Ravnskov, MD, PhD  

    Page originelle en anglais : http://www.ravnskov.nu/ncep_guidelines

(N’hésitez pas à publier ce site n’importe où, mais n’oubliez pas de dire d’où il vient)  

Dans le Journal de l’ American Medical Association du 16 mai 2001 un panel d’experts du National Cholesterol Education Program a publié de nouvelles directives pour “la détection, l’évaluation et le traitement de l’hypercholestérolémie”. Ce qu’ils écrivent semble être une tentative de mettre la plus grande partie du genre humain sous médicaments et régimes anti-cholestérol. Pour ce faire, ils ont augmenté le nombre de facteurs de risque qui exigent des mesures préventives, et élargi les limites de ces mesures.   

Mais le panel n’exagère pas seulement le risque de maladie coronarienne et celui du cholestérol, il ignore également une foule d’éléments de preuve contradictoires. Les déclarations du groupe révèlent que ses membres ont peu d’expérience clinique et un manque de connaissances de base de la littérature médicale, ou pire, qu’ils ignorent ou déforment toutes les études qui sont contraires à leur point de vue. 

Voici quelques exemples de fausses déclarations du groupe: 

Comme un argument en faveur de l’utilisation de médicaments réduisant le cholestérol, le groupe affirme que 20% des patients atteints de maladie coronarienne ont une nouvelle crise cardiaque après dix ans. Mais pour atteindre ce nombre, tout symptôme mineur sans signification clinique est inclus. 

La plupart des gens survivent même à une crise cardiaque majeure, beaucoup avec peu ou pas de symptômes après le rétablissement. Ce qui compte, c’est combien en meurent et c’est beaucoup moins de 20%. 

Le panel d’experts recommande également les médicaments abaissant le cholestérol à tous les diabétiques au-dessus de 20 et aux personnes souffrant du syndrome métabolique. Si vous avez au moins trois des «facteurs de risque» mentionnés ci-dessous, vous êtes souffrant du syndrome métabolique:    

Facteurs de risques

Limites recommandées par les experts du NCEP

 Obésité abdominale 

Tour de taille inférieur à 88 cm chez les femmes, à102 cm chez les hommes. Certains patients de petite taille peuvent développer de nombreux facteurs de risques avec un tour de taille de seulement 94 cm

  High triglycerides  150 mg/dl ou plus 
 Cholestérol HDL  Moins de 40 mg/dl chez les hommes, moins de 50 mg/dl chez   les femmes 
 Hypertension Artérielle  130/85 ou plus haute 
 Taux de sucre maximum dans le sang   110 mg/dl ou plus haut 

Testez-vous ainsi que votre famille ! Je suppose qu’en utilisant ces limites, la plupart d’entre vous “souffrent” du syndrome métabolique. Et cette nouvelle combinaison de facteurs de risque, selon ces experts, exprime le même risque pour les maladies du cœur futures et pour les personnes ayant déjà une maladie coronarienne avérée.    

Heureusement, ce n’est pas vrai.    

Il n’est pas vrai non plus, que le taux de cholestérol a un fort pouvoir de prédiction du risque d’une crise cardiaque chez les hommes de plus de 65 ans. Durant les 30 années de suivi de la population de Framingham par exemple, un taux élevé de cholestérol n’a pas été prédicateur du tout après l’âge de quarante-sept ans, et ceux dont le taux de cholestérol a baissé avaient le plus de risques d’avoir une crise cardiaque ! Pour citer les auteurs de Framingham: « Pour chaque 1 mg / dl de baisse du cholestérol il y a eu une augmentation de 11% de la mortalité coronaire et totale » (115)”  

Il n’est pas vrai non plus, que l’hypercholestérolémie est un prédicateur important et indépendant pour les autres personnes. Dans la plupart des études chez les femmes et les patients ayant déjà eu une attaque cardiaque, un taux élevé de cholestérol a peu de pouvoir de prédiction, voire aucun.  Une vaste étude chez les hommes canadiens ayant un cholestérol élevé n’a pas permis de prédire une crise cardiaque, même après 12 ans, et en Russie, un taux de cholestérol élevé n’a pas non plus été associé à de futures crises cardiaques. (lisez le résumé de l’article) 

La plupart des études ont montré qu’un taux de cholestérol élevé était un très faible facteur de risque ou ne l’était pas du tout chez les personnes âgées ; voir par exemple le document de Schatz et al., mais il y a beaucoup plus. Considérant que plus de 90% de l’ensemble des décès cardiovasculaires se produisent chez les personnes de plus de 60 ans, cet état de fait aurait dû stopper la campagne anti-cholestérol depuis des années. 

Aussi intéressant est le fait que, chez certaines familles avec les taux de cholestérol les plus élevés jamais vus chez des êtres humains, la soi-disant “hyper-cholestérolémie familiale”, les personnes n’ont pas de crises cardiaques plus souvent que les autres et ils vivent aussi longtemps.  (lire l’article et mon commentaire). 

L’ensemble de ces observations suggèrent fortement que l’hypercholestérolémie est seulement un marqueur de risque, un facteur qui est secondaire par rapport à la véritable cause de la maladie coronarienne. Il est aussi absurde d’abaisser le taux de cholestérol afin de prévenir une crise cardiaque que d’abaisser la température élevée du corps pour lutter contre une infection.  

Il a également échappé à l’attention des experts que l’effet des nouveaux médicaments hypocholestérolémiants, les statines, va au-delà d’une baisse du cholestérol. La question est de savoir si leur effet de baisse du cholestérol n’a pas la moindre importance, parce que les statines exercent leur effet de la même manière, que le cholestérol diminue un peu ou fortement. 

Pas de doute, les statines réduisent le risque de mourir d’une crise cardiaque, au moins chez les patients qui en ont déjà eu une, mais le résultat obtenu n’est pas significatif. Dans une des expériences, par exemple l’étude CARE, les chances d’échapper à la mort d’une crise cardiaque dans les cinq ans chez un patient atteint de maladie cardiaque a été de 94,3%, ce qui a été amélioré à 95,4% avec un traitement par statines. 

Pour les personnes en bonne santé avec un taux de cholestérol élevé, l’effet est encore plus faible. L’étude WOSCOPS a étudié cette catégorie de personnes et cette fois les chiffres étaient de 98,4% et 98,8%, respectivement. (ndr: soit 4 /1000 )  Dans les articles scientifiques et dans les publicités des médicaments ces petites effets sont convertis en effet relatif.  Dans l’étude WOSCOPS par exemple, il est mentionné que la mortalité a été réduite de 25%, parce que la différence entre un taux de mortalité de 1,6% dans le groupe contrôle et 1,2% dans le groupe de traitement est de 25%. 

Face à des statistiques précises sur la valeur des statines, presque tous mes patients ont rejeté un tel traitement. Prétendre que les statines réduisent de façon spectaculaire le risque de maladie coronarienne, comme l’a déclaré dans la presse Claude Lenfant, le directeur du National Heart, Lung and Blood Institute, est un détournement de la langue anglaise.  Les chiffres ci-dessus ne prennent pas en compte les effets secondaires possibles du traitement. Dans la plupart des expériences sur les animaux, les statines, ainsi que la plupart des médicaments abaissant le taux de cholestérol provoquent le cancer (90), et ils pourraient le faire chez les êtres humains également.  Dans l’une des expériences sur les statines il y a eu 13 cas de cancer du sein dans le groupe traité par la pravastatine (Pravachol ®), mais un seul cas dans le groupe témoin non traité, un phénomène effrayant qui n’est jamais mentionné dans les publicités ou les directives de santé.   

Il est également alarmant que, dans l’une des plus grandes expériences – l’étude EXCEL – la mortalité totale après seulement un an de traitement avec la lovastatine (Mevacor ®) a été significativement plus élevée chez ceux recevant ce traitement par statine. Malheureusement (ou heureusement), l’expérience a été interrompue avant que de nouvelles observations puissent être faites. Chez les êtres humains, les effets du cancer provoqués par les produits chimiques n’apparaissent pas avant  plusieurs décennies.

Si les statines provoquent le cancer chez les êtres humains, leur faible effet positif peut éventuellement se transformer en un effet négatif beaucoup plus vaste, en raison des effets secondaires qui apparaissent habituellement dans des pourcentages beaucoup plus élevés que ces faibles effets positifs.  Alors que de possibles effets secondaires graves liés aux statines sont hypothétiques, ceux du médicament anti-cholestérol précédent, toujours recommandé par les experts, sont réels. Si l’on considère l’ensemble de ces expériences, la mortalité cardiaque après le traitement avec ces médicaments demeure inchangée et la mortalité totale a augmenté, un élément qui a donné aux chercheurs extérieurs au National Cholesterol Education Program et l’American Heart Association beaucoup de souci.  Les recommandations alimentaires du panel d’experts représentent le septième changement majeur depuis 1961. Par exemple, le conseil originel de l’American Heart Association de manger autant de gras polyinsaturés que possible a été réduit successivement à l’actuel “un maximum de dix pour cent”. 

Mais pourquoi cette limite ? Il y a sept ans, l’auteur principal des nouvelles lignes directrices, le professeur Scott Grundy, a proposé une limite supérieure de seulement 7%, parce que, comme il l’a fait valoir, un excès de graisses polyinsaturées est toxique pour le système immunitaire et stimule la croissance du cancer chez les animaux de laboratoire et peut aussi provoquer des calculs biliaires chez les êtres humains. Ces avertissements n’ont jamais atteint le public. 

En outre, le groupe d’experts ne tient pas compte de ce qu’un récent examen systématique de toutes les études concernant le lien entre les graisses alimentaires et les maladies du cœur n’a trouvé aucune preuve que la gestion des graisses alimentaires ait un quelconque effet sur le développement de l’athérosclérose ou des maladies cardio-vasculaires ( lire le résumé de l’article – cet article a remporté le Prix Skrabanek en 1998). 

Par exemple, dans un grand nombre d’études, dont celles comprenant le chiffre incroyable de plus de 150.000 personnes, aucune d’entre elles n’a trouvé le modèle prédit de régime alimentaire lipidique chez les patients atteints d’une maladie cardiaque.  Aucune corrélation n’a été constatée entre le modèle de consommation de matières grasses et le degré d’athérosclérose (artériosclérose) après la mort. 

Plus important encore, la mortalité par maladies cardiaques et toutes causes est demeurée inchangée lors de 9 expériences comprenant des changements plus radicaux de graisses alimentaires que ceux jamais proposés par le National Cholesterol Education Program, un résultat qui a été confirmé récemment dans une autre étude (lire l’article et mon commentaire).    

Suggérer que les patients diabétiques devraient obtenir plus de 50% de leur apport calorique à partir de glucides semble un conseil particulièrement mauvais. Une grande quantité d’hydrate de carbone est rapidement transformée en sucre, induisant des changements rapides du sucre sanguin et des niveaux d’insuline, et stimulant par là-même une conversion rapide de sucre sanguin en dépôt de matières grasses et un sentiment de faim chronique. Les patients diabétiques devraient manger plus de matières grasses. Est-ce une coïncidence si la diminution de l’apport de matières grasses chez les Américains au cours de la dernière décennie a été suivie par une augmentation moyenne de leur poids corporel et une augmentation de l’épidémie de diabète ?    Au lieu de prévenir les maladies cardio-vasculaires les nouvelles directives peuvent augmenter le taux de mortalité des autres maladies, transformer les individus en bonne santé en malheureux hypochondriaques obsédés par la composition chimique de leurs produits alimentaires et de leur sang, réduire les revenus des producteurs de matières grasses animales, nuire à l’art de la cuisine, détruire la joie de manger, et détourner l’argent des soins de santé des malades et des pauvres vers les personnes riches et en bonne santé. Les seuls gagnants sont les médicaments et l’industrie des aliments artificiels, et les chercheurs qu’ils financent.    

Uffe Ravnskov

MD, PhD, chercheur indépendantPorte-parole de THINCS, The International Network of Cholesterol Skeptics  Une version courte du texte ci-dessus a été envoyée à l’éditeur du JAMA (*).  Lire sa réponse (*ndlr: JAMA – Journal of the American Medical Association)

Si vous désirez les preuves scientifiques de ce qui est écrit ci-dessus, vous les trouverez dans The Cholesterol Myths    

N’hésitez pas à publier ce site n’importe où, mais n’oubliez pas de dire d’où il vient  Publié le 2 Juin 2001, dernière révision le 31 octobre 2003    

 

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Témoignage victime des statines

http://capitalreward.blogspot.com/2008/01/tmoignage-sur-les-effets-secondaires.html

Témoignage sur les effets secondaires des statines

Un témoignage absolument renversant se retrouve sur le blogue de Mike Eades aujourd’hui. En fait, il est tellement révélateur et touchant que j’ai pris la liberté de le traduire en français pour que le plus de gens possible puissent en prendre connaissance.

Si vous parlez anglais svp lisez le texte original qui est beaucoup plus authentique, émotif, touchant qu’une traduction peut jamais l’être.

Voici donc le texte.

Je voudrais partager avec vous mon expérience avec les statines [une catégorie de médicaments prescrits pour réduire le taux de cholestérol]. Je m’excuse à l’avance de la longueur de mon témoignage, mais le portrait complet des conséquences de la simple prescription de cette pilule miracle nécessite une attention aux détails dans ce cas.

Ma vie fut chamboulée lors d’un examen de routine chez le médecin.

Mon résumé médical : Je suis à l’époque un homme de 56 ans, sédentaire (travail en informatique), libido normale, provenant du sud des Etats-Unis, plutôt relax comme personne. Je mesure 6 pieds, pesais 212 lbs à ce moment. Fumeur depuis des années, mais ayant un bagage génétique favorable à une longue vie. Capacité pulmonaire normale, pression sanguine de 118/65 au repos (debout et assis), tension à 64. Je ne suivais aucun régime particulier – j’avais une alimentation typique du sud. Je ne prenais aucuns suppléments non plus. J’étais généralement en bonne santé : à part quelques spasmes musculaires dans le dos, rien à signaler. Aucunes allergies, résultats d’électrocardiogramme et électroencéphalogramme normaux, composition sanguine, thyroïde et foie fonctionnant également correctement.

Mais, UN test révèle que mon niveau de triglycérides est élevé, à 287 [mg/dl]. Mon cholestérol total est 149, HDL 37, LDL 55, glucose 89.

Mon médecin me prescrit du Vytorin 20 mg . Résultat : Triglycérides 175, cholestérol total monte à 214, HDL 40, LDL descend à 139.


Ensuite, Vytorin 40mg. Résultat : Triglycérides 199, total 144, HDL 40, LDL 64.


Puis Crestor (une statine différente) 10mg. Résultat : Triglycérides 98, total 141, HDL 45, LDL 76, glucose 103.

Je mentionne à mon médecin que ma libido et mon niveau d’énergie ont baissé. Celui-ci me suggère de faire de l’exercice. Je commence donc à prendre des marches rapides de 2 1/2 miles tous les matins, activité que je maintiens toujours aujourd’hui depuis neuf mois. .

Les pertes d’énergie et de libido s’accentuent. Mon médecin me prescrit du Effexor XR 75mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je me plains de nervosité anormale et de fatigue continue. Ma dose d’Effexor est augmentée à 150 mg et mon médecin me prescrit du Benztropine 1mg, Lorazepam 2mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement. Dose d’Effexor augmentée à 225mg, Benztropine 2mg, Lorazepam 4mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à avoir de la douleur aux muscles et articulations. On rajoute Darvocet au cocktail pharmaceutique, ce qui aide à diminuer la douleur, mais je souffre de plus en plus de la baisse d’énergie et de libido (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon médecin me fait passer à Cymbalta 60 mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à subir des crises d’anxiété et de panique (ce que je n’avais jamais subi en 56 ans). J’ai du annuler un voyage d’affaire parce que j’étais paniqué à l’idée de devoir prendre l’avion. J’ai pourtant pris l’avion durant toute ma vie adulte. Mon médecin ajoute Seroquill 100mg à mon mélange quotidien, augmente Cymbalta à 90mg, Lorazepam à 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement, alors on me change encore de combinaison. Je prends maintenant Wellbutrin XL 150mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon anxiété devient constante. Les crises de panique s’estompent, mais j’ai des sueurs, je suis faible, n’ai plus de libido, et je fais maintenant de l’insomnie. J’ai commencé à perdre l’appétit et perd rapidement du poids. Les douleurs musculaires et articulaires reviennent si j’oublie de prendre mon Darvocet. On augmente ma dose de Wellbutrin à 300mg, rajoute Aderall 30mg et commence à prendre du Ibuprofen 600mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Les symptômes empirent, alors je décide de changer de médecin. Le nouveau docteur arrête le traitement d’Adderall et de Wellbutrin et me prescript du Prozac 20mg et du Xanex 25mg comme remplacement. L’anxiété est maintenant intermittente, mais je continue à m’affaiblir, à maigrir, à n’avoir aucune énergie et à avoir des douleurs musculaires et articulaires. On augmente la dose du Prozac à 40 mg. Aucune amélioration.

Le nouveau médecin me donne du Paxil 20 mg. L’anxiété me prend moins souvent, mais tous les autres symptômes empirent. La dose de Paxil est augmentée à 40 mg. Mes crises d’anxiété s’évaporent presque complètement; je prends du Xanex à l’occasion pour m’aider à dormir. Par contre je me réveille toujours en sueurs et épuisé le matin venu. Ma faiblesse devient chronique et m’empêche de fonctionner normalement. En combinant ces problèmes avec une vue nouvellement embrouillée et la détérioration de ma capacité de compréhension, il est devenu impossible pour moi d’accomplir mes tâches au travail (je prends toujours Crestor 10 mg).

On m’envoie chez un psychiatre car j’ai tous les signes d’être en dépression. Le psy juge que je n’ai pas besoin de thérapie, que mes symptômes sont dus à un débalancement chimique, et me remet sur le Prozac 20 mg, remplace Xanex par Lunesta et me prescrit du Provigil 200mg. Mon anxiété revient à l’occasion; on me dit de prendre du Xanex si ça arrive. Ma capacité de compréhension semble revenir à la normale, mais je me sens de plus en plus faible et je maigris à vue d’œil. De plus mon mollet et mon pied droits deviennent régulièrement engourdis (je prends toujours Crestor 10 mg).

Ma partenaire de marche, une vendeuse de produits pharmaceutiques à la retraite, remarque que je bouette légèrement lors de nos marches. On discute de ma santé chancellante. Elle me demande si je prends des statines. Je lui réponds que je prends Crestor 10 mg. Elle veut ensuite savoir si on m’avait conseillé de prendre des suppléments de Co-Q10, vitamines B et vitamine C ; je lui réponds que non. Elle suggère que je commence à en prendre immédiatement et d’examiner la situation avec mon médecin au plus vite. Comme j’ai un rendez-vous chez le psy qui s’en vient, je décide de lui poser la question. Le psy semble d’accord avec mon amie et trouve étrange que personne ne m’ait conseillé de prendre ces suppléments. Il s’empresse toutefois de vanter les mérites de Crestor, en particulier pour la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le psy augmente ma dose de Provigil à 300mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Deux jours plus tard, je m’effondre lors de notre marche matinale ; mes jambes et genoux étaient trop faibles pour me soutenir et mon pied droit est devenu paralysé. Après m’avoir reconduit chez moi de peine et de misère, mon amie me suggère de cesser de prendre Crestor (progressivement sur deux semaines, car un arrêt soudain me mettrait à risque de faire un ACV), de prendre plus du supplément CoQ10 et d’aller voir un médecin au plus vite. Je suis sensé partir en voyage d’affaire pendant 4 semaines et je ne peux vraiment pas manquer celui-ci après avoir dû annuler le dernier. Je décide quand même de suivre ses conseils. La douleur est atroce durant les 2 premières semaines ; je dois me gaver de Darvocet, hydrocodone et ibuprofen pour la soutenir. Je peux à peine marcher ou faire des tâches pourtant faciles.

Mes collègues trouvent que j’ai l’air de quelqu’un qui vient de faire une crise cardiaque. J’ai l’air mort, j’ai perdu énormément de poids, mes capacités mentales sont grandement diminuées et j’ai de la difficulté à bouger.

Les symptômes s’améliorent drastiquement au cours des 2 semaines qui suivent.


Durant mon voyage et depuis mon retour j’ai eu la chance de faire beaucoup de recherche sur internet. J’ai aussi parlé à des gens qui ont vécu une expérience similaire à la mienne avec les statines.
Ce que j’ai trouvé est absolument épeurant. Des centaines et centaines d’histoires d’horreur concernant les statines. Des patients ignorants qui n’ont aucune idée que leurs symptômes (dépression, épuisement, douleurs) puissent être causés par les statines.

Après avoir partagé les résultats de mes recherches avec ma partenaire de marche, elle m’informe que les fabricants de ces médicaments sont au courant des effets secondaires de leurs produits, et qu’ils planifient même combiner les vitamines CoQ10, B et C directement avec les statines. Les compagnies pharmaceutiques commencent à peine à informer les médecins qu’ils devraient suggérer à leurs patients de prendre ces suppléments s’ils sont traités aux statines, me dit-elle. Elle m’informe aussi que ça pourrait me prendre de six mois à un an pour récupérer des effets secondaires que j’ai subis, mais que les suppléments allaient m’aider.

Dans toute cette histoire :


J’ai perdu 42 lbs, passant de 212 à 170 lbs, principalement de la masse musculaire. J’ai perdu du muscle de partout, même dans mes mains! J’ai aussi perdu environ 50% de ma force ; je ne peux plus marcher, me concentrer, réfléchir clairement.

J’ai du supporter un épuisement absolu, une libido inexistante. J’avais perdu tout appétit, j’étais dépressif, pris d’anxiété, d’insomnie et douleurs atroces.

J’ai été diagnostiqué avec et/ou traité pour de l’anxiété généralisée, de la dépression, de l’arthrite, de l’insomnie, des dysfonctions érectiles. On m’a tâté, examiné, et finalement dit que je passais par les étapes normales du vieillissement. On m’a envoyé chez le psychiatre.

Je suis passé très près de perdre mon travail.

Tout ça pourquoi? Parce qu’un nombre, une statistique était un peu élevé au goût d’un médecin et que celui-ci a décidé que je devrais prendre des statines. Statines qui, je l’ai découvert lors de mes recherches approfondies, ne contribuent en rien à la diminution de la mortalité chez ceux qui les prennent.

Je suis revenu de mon voyage d’affaire depuis 5 jours et j’ai cessé de prendre du Crestor depuis 3 semaines déjà. Je prends mes suppléments en quantité adéquate et suis une diète beaucoup plus saine.

J’ai recommencé mes marches rapides tous les matins, mais je suis ankylosé comme si c’était la première fois. J’ai retrouvé 75% de l’usage de mon pied droit et ça s’améliore de jour en jour. Je n’ai qu’une douleur occasionnelle à la jambe.
Je me sens un peu mieux chaque jour. Je récupère mes forces physiques et mentales. Je suis par contre absolument terrifié à l’idée de retourner chez mon médecin, même si c’est simplement pour vérifier mon niveau de cholestérol. Je recherche maintenant un chiropraticien pour traiter la douleur que j’ai à la jambe.

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